Rive droite, dans le quartier Saint-Georges, un appartement traversant
avec balcon au deuxième étage d'un immeuble en pierre de taille
avec balcon au deuxième étage d'un immeuble en pierre de taille
Paris, PARIS
paris
75009
FR
Situation
Dans le 9e arrondissement, la portion de la rue se situe à la lisière de la Nouvelle-Athènes, haut lieu du romantisme au 19e siècle, et de la place Adolphe-Max (autrefois place Vintimille), sur l'ancien domaine du pavillon de la Bouëxière. Cette propriété de plus de dix hectares appartenait en 1747 à Charles-François Gaillard de la Bouëxière, fermier général du roi, qui y fit construire un jardin à la française sur le modèle des Tuileries et une maison bâtie en forme de temple d'Apollon. Depuis cette époque, la propriété romantique a disparu mais peu de choses ont changé : tout n'est qu'effervescence et enthousiasme alors que les badauds se pressent dans les cafés, les brasseries et les grands magasins, dont Zola narra l'épopée dans son roman Au Bonheur des Dames. La proximité des transports, des collèges et lycées, des nombreux théâtres et restaurants, mais loin des hordes de touristes, présentent aussi de nombreux attraits.
Description
Au rez-de-chaussée et au centre de l'édifice, l'entrée de l'immeuble sépare deux commerces. Passée une double porte cochère protégée d'un code, le sas est lui-même protégé par une grille en fer peint et un vantail sécurisé avec interphone. D'un côté, une porte vitrée accède au hall d'entrée où un escalier en bois à quartiers tournants et capoté d'un tapis de laine mène aux différents étages avec un seul appartement à chaque niveau. Un ascenseur dans le noyau de l'escalier dessert également tous les étages.
Au deuxième étage, l'appartement prend place et déploie une esthétique recherchée. L'agence d'architecture "Lieu-dit" et les propriétaires y ont travaillé de concert afin de conserver la fibre originelle de l'appartement de style Napoléon III, qui fut le lieu de vie du couple d'artistes Odette et Robert Lepeltier, céramiste et peintre du début du 20e siècle. Ils ont ainsi contretypé la couleur des murs et travaillé à la recherche d'une harmonie entre les teintes de bois naturel, les tons des aplats de couleur, des carreaux de ciment ici et là, des carreaux biseautés blancs de style métro et la crédence de la cuisine.
La double porte d'entrée blindée dessert la large entrée lambrissée et où une bibliothèque en bois occupe un large pan de mur. Le sol est en parquet de chêne à chevrons et la hauteur sous plafond de plus de trois mètres est soulignée par les corniches en staff d'origine. Le séjour avec ses trois fenêtres et son balcon communiquent avec la salle à manger. Les deux chambres de part et d'autre de la salle de séjour ont chacune leur salle d'eau. La chambre principale est accessible depuis la salle à manger et donne sur la cour. Depuis l'entrée, une porte marque la séparation d'un espace, dont le sol est entièrement couvert de carreaux de ciment, comprenant une lingerie, un cabinet de toilette invités et au fond du couloir, la vaste cuisine avec coin repas équipée et illuminée par une grande fenêtre sur cour. Là, une porte dessert l'escalier de service. Le chauffage et la production d'eau chaude sont assurées par une chaudière à gaz.
Au deuxième étage, l'appartement prend place et déploie une esthétique recherchée. L'agence d'architecture "Lieu-dit" et les propriétaires y ont travaillé de concert afin de conserver la fibre originelle de l'appartement de style Napoléon III, qui fut le lieu de vie du couple d'artistes Odette et Robert Lepeltier, céramiste et peintre du début du 20e siècle. Ils ont ainsi contretypé la couleur des murs et travaillé à la recherche d'une harmonie entre les teintes de bois naturel, les tons des aplats de couleur, des carreaux de ciment ici et là, des carreaux biseautés blancs de style métro et la crédence de la cuisine.
La double porte d'entrée blindée dessert la large entrée lambrissée et où une bibliothèque en bois occupe un large pan de mur. Le sol est en parquet de chêne à chevrons et la hauteur sous plafond de plus de trois mètres est soulignée par les corniches en staff d'origine. Le séjour avec ses trois fenêtres et son balcon communiquent avec la salle à manger. Les deux chambres de part et d'autre de la salle de séjour ont chacune leur salle d'eau. La chambre principale est accessible depuis la salle à manger et donne sur la cour. Depuis l'entrée, une porte marque la séparation d'un espace, dont le sol est entièrement couvert de carreaux de ciment, comprenant une lingerie, un cabinet de toilette invités et au fond du couloir, la vaste cuisine avec coin repas équipée et illuminée par une grande fenêtre sur cour. Là, une porte dessert l'escalier de service. Le chauffage et la production d'eau chaude sont assurées par une chaudière à gaz.
Ce que nous en pensons
Dans la petite copropriété parfaitement tenue, la vie est plus douce que nulle part ailleurs dans la capitale. Depuis la Belle Époque, l'atmosphère du quartier où les Romantiques avaient élu domicile n'a pas tellement changé, pas loin des théâtres, des musées et des grands magasins : toujours aussi bohème et romantique, à jamais secrète et parisienne. Dans cet univers chargé d'Histoire, l'appartement peut s'enorgueillir, après une rénovation de grande qualité, de marier l'ancien et le contemporain avec subtilité et éclat. Il fait le lien élégant entre classicisme et modernisme. Les murs d'un blanc éclatant, les crémones et les carreaux de ciment se conjuguent parfaitement avec les moulures délicates et les bibliothèques qui créent un lieu à la fois aérien et racé.
Référence 497103
| Hauteur sous plafond | 3.20 |
| Surface totale intérieure | 171 m2 |
| Nombre de pièces | 5 |
| Nombre de chambres | 3 |
| Nombre de chambres possible | 4 |
| Surface Carrez | 168.43 m2 |
| Surface Cave | 12 m2 |
| Surface Balcon | 5 m2 |
| Nombre de lots | 9 |
| Montant moyen annuel de la quote-part de charges courantes |
5000 € |
Aucune procédure en cours menée sur le fondement des articles 29-1 A et 29-1 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 et de l’article L.615-6 du CCH
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
