Situation
Dans le Val-de-Marne, sur l'ancienne route royale qui menait de Paris à Fontainebleau, Villejuif est longtemps resté un petit village rural, connu pour sa carrière de plâtre, ses quelques vignes et ses labours de céréales. Avec l'installation du tramway au 19e siècle et une desserte directe jusqu'à la gare d'Austerlitz, la commune s’est développée peu à peu et a accueilli une population d'ouvriers qui y firent construire de nombreux pavillons. Villejuif est à seulement trois kilomètres de Paris, et à moins d'un quart d'heure de transport de la capitale via la ligne 7 du métro. La maison se situe à trois minutes de marche de la station Paul-Vaillant-Couturier. Elle se trouve également à proximité des écoles, des commerces de bouche et des équipements sportifs, dans un quartier à la fois central résidentiel, qui devrait profiter dans quelques années des installations du Grand Paris Express.
Description
La luminosité est omniprésente. L’intérieur de la maison compte de grands espaces permettant une circulation fluide, pour un usage simple au quotidien. Quatre chambres composent le premier niveau. Un espace indépendant, perché sur le toit, termine cette conception contemporaine, pour abriter la chambre principale, avec salle d'eau, tout équipée.
La maison
Elle s'élève sur quatre niveaux, dont deux étages.
Sous-sol
D’une surface de 60 m² environ, ce niveau, très lumineux, est actuellement composé des espaces communs de 41 m² avec salle à manger et cuisine, dont la large porte-fenêtre donne accès à une terrasse abritée. Un espace technique composé d’une buanderie de 15 m², logeant la pompe à chaleur, est complété par une pièce de rangement équipée d’un bloc lavabo et un bloc sanitaire.
Rez-de-chaussée
Ce plateau ouvert, d’une surface de 56 m², comprend la salle de séjour de 52 m² dans laquelle est installé un poêle à bois, chauffant toute la maison. L'espace fermé attenant à l'entrée, aménagé en penderie, est équipé d’un lavabo. La lumière se déverse dans l'ensemble au travers de quatre portes-fenêtres grande hauteur, elles-mêmes points d'accès à l’extérieur de la maison via un balcon filant.
Premier étage
Un escalier mène au premier étage où se trouvent quatre chambres d’une surface moyenne de 11m². Elles se partagent une salle d’eau et des toilettes indépendantes.
Deuxième étage
Cet îlot a été conçu comme une seconde maison perchée sur le toit avec un accès direct et privatif, précédé d’une pergola et d’un balcon. Le toit à deux pentes est constitué de tuiles mécaniques brun-rouge : la tuile beauvoise d'Edilians-en-Chevreuse, dont l’utilisation a été validée par l'architecte des bâtiments de France. L’ensemble s’étend sur une surface de 32 m² et abrite la chambre principale. Celle-ci se compose d’une chambre, d’une garde-robes et d’une salle de bains avec douche à l’italienne. Les sanitaires sont attenants mais séparés de la salle de bains. Chacune des pièces est éclairée par une fenêtre pour optimiser la lumière.
Ce que nous en pensons
Avec ses lignes épurées, son minimalisme et sa façade cubique, la maison évoque un vaisseau à la géométrie parfaite, un navire imposant et tranquille qui voudrait faire oublier les vicissitudes du monde extérieur. Il est le modèle parfait d'une architecture à la recherche de simplicité et de fonctionnalité, mais aussi d'un mode de vie en accord avec la nature. La modernité dans la conception et le respect des nouvelles normes en font un bien à la pointe de l’écologie. À l'intérieur, la demeure n'a qu'une seule devise : celle du confort. Avec des matériaux de qualité, faciles à entretenir et clairs, de larges baies pour une luminosité maximale et une tranquillité d'esprit sans pareil.
Référence 132098
Surface totale intérieure | 207 m2 |
Nombre de pièces | 7 |
Nombre de chambres | 5 |
Nombre de chambres possible | 6 |
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.