Entre Troyes et Tonnerre, dans l'Aube,
une petite ferme rénovée et ses dépendances aménageables
une petite ferme rénovée et ses dépendances aménageables
Pargues,
AUBE
champagne-ardennes
10210
FR
Situation
En région Grand Est, dans le département de l’Aube, le village de Pargues se trouve entre les villes de Tonnerre et Troyes – réputée pour ses maisons à pans de bois –, toutes deux distantes d’une trentaine de kilomètres. La propriété est également toute proche de la petite cité touristique de Chaource à environ 5 km, célèbre pour son fromage et son golf du château de la Cordelière. Le village viticole de Chablis est à 45 km. Par la route, Paris se rejoint en 2 h et l’accès à l’autoroute A5 qui mène à la capitale se trouve à moins de 25 km.
Description
Située dans la rue principale du village, la propriété est close d’un muret en pierre surélevé de grilles en fer forgé. Elle est composée de plusieurs bâtiments de ferme construits autour d’une cour ouverte.
Érigée de deux niveaux, la maison est coiffée d’un toit en croupe en petites tuiles plates bourguignonnes. Ses quatre façades ont été ravalées et jointoyées selon la tradition locale des joints dits « beurrés ». Elles sont rehaussées de chaînages d’angle et d’encadrements de baie en pierre de taille. Les percements sont garnis d’huisseries peintes en bleu pâle, protégées par des contrevents en chêne. Entièrement et soigneusement rénovée en gîte d’une capacité de huit personnes, la maison peut tout aussi bien redevenir une résidence familiale.
Les bâtiments agricoles, tous attenants, s’organisent entre une écurie, deux granges et deux auvents. Ils doivent être réhabilités et présentent un fort potentiel. Voisine de la cour, une ancienne étable, qui sert aujourd'hui de garage, donne directement sur la rue et pourrait être réhabilitée en gîte indépendant. Une cave voutée s’ajoute à l’ensemble.
L’espace autour du bâti est constitué de pelouses fleuries et arborées et dévoile des vues remarquables sur la nature environnante.
Érigée de deux niveaux, la maison est coiffée d’un toit en croupe en petites tuiles plates bourguignonnes. Ses quatre façades ont été ravalées et jointoyées selon la tradition locale des joints dits « beurrés ». Elles sont rehaussées de chaînages d’angle et d’encadrements de baie en pierre de taille. Les percements sont garnis d’huisseries peintes en bleu pâle, protégées par des contrevents en chêne. Entièrement et soigneusement rénovée en gîte d’une capacité de huit personnes, la maison peut tout aussi bien redevenir une résidence familiale.
Les bâtiments agricoles, tous attenants, s’organisent entre une écurie, deux granges et deux auvents. Ils doivent être réhabilités et présentent un fort potentiel. Voisine de la cour, une ancienne étable, qui sert aujourd'hui de garage, donne directement sur la rue et pourrait être réhabilitée en gîte indépendant. Une cave voutée s’ajoute à l’ensemble.
L’espace autour du bâti est constitué de pelouses fleuries et arborées et dévoile des vues remarquables sur la nature environnante.
La maison d'habitation
Le rez-de-chaussée
Autrefois cloisonné, il est désormais composé d'une unique grande pièce de vie dallée en pierre de Bourgogne et aux poutres et solives apparentes, dont deux cheminées centrales en pierre – l’une d’elles est garnie d’un insert – réchauffent l’espace. La cuisine en inox entièrement équipée, avec piano de cuisson, est intégrée dans la vaste pièce de vie. Des éclairages indirects valorisent les matériaux de bonne facture utilisés lors de la rénovation. Un couloir mène à une salle d’eau avec douche à l’italienne et toilettes.
L'étage
Un escalier en bois à double quart tournant débouche dans un couloir qui conduit à deux chambres à coucher, une salle d’eau avec douche à l’italienne, un bureau et des toilettes indépendantes. Dans la salle de douche, un placard dissimule ingénieusement un lave-linge, un sèche-linge et une planche à repasser intégrée. L’ensemble du niveau est parqueté en chêne.
La cave
Voûtée et gravillonnée, elle est accessible depuis un abri extérieur mitoyen à la maison.
Les bâtiments agricoles
Les écuries
Percées de trois baies, elles peuvent aisément être transformées en une surface habitable.
L'ensemble de bâtiments
Attenantes aux écuries, deux granges, avec hauteur sous faîtage de 9,70 m, doivent être restaurées.
Le puits
Située dans la cour, il pourrait permettre un apport supplémentaire en eau douce grâce à ses grandes dimensions.
L'abri de jardin
Accolés au mur mitoyen de la cour, le premier représente une surface d’approximativement 35 m² et le second d’environ 40 m².
Le garage
Accessible directement depuis la rue sans entrer dans la propriété, il est élevé de deux niveaux et couvert de petites tuiles plates bourguignonnes. C'était autrefois une étable et un grenier à foin. L'alimentation en eau et en électricité permettent d'imaginer y établir aisément un gîte indépendant.
Les espaces extérieurs
Divisés en deux, ils se composent d’un jardin et d’un verger. Le premier s’étend aux abords de la cour et est enherbé, arboré et fleuri de nombreuses variétés de plantes. À l’extrémité, le second est ponctué de différentes essences d’arbres fruitiers. Une lisse en bois de style équestre marque la séparation entre les deux espaces.
Ce que nous en pensons
Une ancienne ferme dans un village paisible à proximité des grandes villes régionales et à 2 h de Paris. L’excellente rénovation de la maison d’habitation en fait un ensemble de caractère qui présente tout le confort nécessaire pour recevoir de nouveaux occupants.
Les anciens bâtiments agricoles devront également être rénovés et transformés afin de maximiser la superficie d’accueil, que ce soit pour des amis, de la famille ou encore des hôtes de passage venus visiter cette partie de la Champagne, proche de lieux touristiques comme Chaource, Troyes ou Chablis.
Référence 325707
| Surface cadastrale | 3257 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 140 m2 |
| Surface des dépendances | 242 m2 |
Partager
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
