En Bretagne, dans les hauteurs du Val-André,
une villa du début du 20e s., son jardin et sa vue panoramique sur mer
Pléneuf-Val-André, COTES-D'ARMOR bretagne 22370 FR

Situation

Dans le nord de la Bretagne et des Côtes-d'Armor, entre la baie de Saint-Brieuc et la Côte d'Émeraude, la station balnéaire de Pléneuf-Val-André attire depuis la fin du 19e s. des générations de vacanciers, venus profiter grâce au train du casino, des hôtels et des villas face à la mer. L'ensemble des commerces et services de proximité ainsi que des professionnels de santé sont accessibles dans la commune. Les loisirs sont nombreux : port de plaisance, golf, tennis, centre nautique, centres équestres, sentiers de randonnée.
La propriété est juchée sur un promontoire et domine tout le Val-André. L'accès se fait à pied depuis la plage, à 5 min, ou en voiture via les rues étroites bordées de villas et de quelques petits habitats collectifs. Lamballe est à 20 min en voiture. Sa gare TGV dessert Paris en 2 h 30.

Description

La demeure apparaît au détour d'une rue, en même temps que la vue panoramique sur la plage du Val-André. Elle est accessible à pied par un portillon puis via des escaliers jusqu'au jardin, en surélévation. Dans la rue en contrebas, bordée d'un haut mur en moellon de pierre et de rambardes de grès rose local, un portail dissimule un garage situé sous une partie du jardin. Ce dernier, à flanc de coteau, profite à plein de son exposition. De nombreuses essences de plantes, notamment exotiques, y fleurissent. Une deuxième entrée se fait par l'autre ruelle en surplomb.
Édifiée au plus haut du terrain au début du 20e s., la maison est de type ternaire, construite en granit et grès, avec une façade enduite au ciment. Les entourages des baies sont en grès rose et l'une des chambres est prolongée d'un balcon en bois. L'entrée se fait par un porche, également en bois, coiffé d'une toiture à la Mansart dont le brisis et le terrasson sont couverts d'ardoise. La toiture de la maison est à longs pans, surmontée d'une crête et d'épis de faîtage métalliques. Les pignons en avant-toit sont coiffés d'une demi-croupe.

La maison


Le rez-de-chaussée
Surélevé, il est accessible par une volée de marches puis un perron, surmonté d'un porche. L'entrée, pavée de carreaux de ciment anciens, est bordée d'une frise qui imite une mosaïque. L'espace dessert deux pièces en miroir. D'un côté, une haute double porte vitrée à petits carreaux conduit à un salon, avec une vue panoramique sur le paysage depuis une large baie. L'espace est couvert d'un parquet en bois ancien. Sur la partie basse des murs, un lambris d'appui en pitchpin est complété à deux coins de la pièce par des meubles d'angle de même matière et uniquement interrompu par une cheminée en marbre gris. De l'autre côté de l'entrée, une double porte ouvre sur une salle à manger avec coin cuisine, carrelée de tomettes octogonales. Une haute baie avec fenêtre à deux vantaux au sud éclaire l'ensemble et donne sur le Val-André et sa plage. La cuisine a un accès vers l'extérieur au nord. Dans l'entrée enfin, un escalier sous lequel ont été aménagées des toilettes dessert le sous-sol et les étages.

Le premier étage
Un palier distribue deux chambres exposées au sud, avec des baies tournées vers le Val-André, la plage et la baie. Des cheminées aux manteaux en marbre clair de type Carrare y sont installées et les murs sont tapissés de papier peint. Chaque pièce à coucher jouxte un cabinet de toilette avec point d'eau. L'ensemble du niveau est parqueté.

Les combles
Un palier dessert deux chambres, légèrement mansardées avec fermes apparentes. L'une, exposée à l'ouest, donne sur la mer et la baie de Saint-Brieuc. L'autre donne à l'est, avec vue sur les villas environnantes. Chacune jouxte un cabinet de toilette avec lavabo et fenêtre de toit. Les murs sont tapissés de papier peint, les sols parquetés et bordés de plinthes en bois.

Le sous-sol
Semi-enterré, il est accessible soit par l'escalier intérieur soit par une entrée donnant sur le jardin. Composé d'une grande pièce à usage de buanderie, d'une cave et d'une salle de bains, il est pour partie recouvert d'un sol en ciment et pour partie carrelé. Il est éclairé par des baies avec fenêtres à petits carreaux.

Le bâtiment de dépendance

Indépendant et accessible soit par le nord de la maison soit par l'ouest, il comprend une entrée avec placard ainsi que deux chambres, associées chacune à des toilettes. L'une ouvre à l'est, l'autre à l'ouest et au sud avec vue sur mer. Les murs sont peints et le sol est de type synthétique.

Le jardin

Accessible par le portillon sud depuis la rue et également via une autre entrée depuis une ruelle au nord, il est en partie à flanc de coteau et épouse la déclivité naturelle des lieux. Exposé plein sud et protégé des vents d'ouest, il est paysager et parcouru de chemins étroits entre massifs de fleurs, de succulentes, d'agaves, de yuccas et d'agapanthes. La vue est dégagée sur le Val-André, sa plage et la baie de Saint-Brieuc. Une terrasse maçonnée protégée des regards a été aménagée au-dessus du garage. L'espace plat situé près de la dépendance pourrait recevoir une piscine avec vue à 180°.

Ce que nous en pensons

Une villa aux vues imprenables sur la baie et l'immensité bleue à l'horizon, parmi les premières édifiées au Val-André à l'orée du siècle dernier. Juchée dans les hauteurs, la maison a vu passer des générations d'estivants, venus profiter du panorama exceptionnel ainsi que de la proximité avec la plage et le centre de la station balnéaire. Après une rénovation complète, une nouvelle famille pourra à son tour faire de cet élégant promontoire son pied-à-terre breton, à quelques heures à peine de la capitale par le train.

1 790 000 €
Honoraires à la charge du vendeur


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Référence 982719

Surface cadastrale 861 m2
Surface du bâtiment principal 180 m2
Nombre de chambres 6

Conseiller
Côtes d'Emeraude et de Penthièvre

Emmanuel Orjebin +33 1 42 84 80 85

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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.

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