Dans le Lauragais à 45 min au sud-est de Toulouse, un château du 15e s.,
ses trois gîtes et ses 6,5 ha de parc, de bois et de prairies
ses trois gîtes et ses 6,5 ha de parc, de bois et de prairies
,
HAUTE-GARONNE
midi-pyrenees
FR
Situation
Région historique et culturelle illustre du sud-ouest de la France, le Lauragais occupe une vaste zone autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, bordée par les agglomérations de Toulouse au nord-ouest, de Castres à l'est et de Carcassonne au sud-est. La propriété est accessible par l'autoroute A61 qui se situe à 15 min de là. Villefranche-de-Lauragais est à 10 min et bénéficie d'une gare.
Description
Depuis une petite route communale, l'entrée dans la propriété s'effectue par un portail qui ouvre sur un espace gravillonné occupé en ses bords par le château et les trois gîtes. La propriété comprend 6,5 ha de parc, de bois et de prairies. Les bâtiments qui constituent le château et ceux qui abritent les gîtes forment deux axes perpendiculaires qui structurent le domaine, organisent la circulation extérieure et rendent les habitats relativement indépendants. Les façades, orientées dans des directions distinctes, sont tournées vers l'horizon. Seule la façade arrière des dépendances regarde une élévation latérale du château, avec laquelle elle délimite une cour bordée de bosquets arborés et de haies arbustives. Deux piscines ont été bâties à proximité respectivement du château et des gîtes.
Les origines du domaine remontent à 1492. Sur ordre de Louis XIV, l'édifice castral a été agrandi puis habité par la comtesse de Toulouse. Remanié aux siècles suivants, le corps principal de bâtiment, élevé de trois niveaux, a cependant gardé son allure médiévale : flanqué d'une tour ronde, avec élévations en pierres calcaires posées à joints vifs, il affiche une façade principale rythmée par la symétrie parfaite de ses baies. Ces dernières sont cintrées, avec encadrements en pierre de taille, huisseries en bois et contrevents peints en blanc. La façade tournée vers le parc est sensiblement différente, avec des baies également en plein cintre, disposées autour de plusieurs axes de symétrie, et des extensions qui s'y adossent : deux orangeries, construites aux extrémités du corps principal. Strictement identiques, élevées d'un niveau et éclairées par des verrières à petits carreaux, celles-ci abritent aujourd’hui de multiples espèces de plantes.
Les dépendances forment quatre bâtiments en enfilade élevés d'un niveau, construits dans la pente et de hauteurs légèrement distinctes. Les baies, à disposition asymétrique, sont de formes, de tailles et de matériaux divers.
Les toitures des divers bâtiments du domaine, à un ou deux pans, sont en tuile canal, surmontées de multiples cheminées en brique.
Les origines du domaine remontent à 1492. Sur ordre de Louis XIV, l'édifice castral a été agrandi puis habité par la comtesse de Toulouse. Remanié aux siècles suivants, le corps principal de bâtiment, élevé de trois niveaux, a cependant gardé son allure médiévale : flanqué d'une tour ronde, avec élévations en pierres calcaires posées à joints vifs, il affiche une façade principale rythmée par la symétrie parfaite de ses baies. Ces dernières sont cintrées, avec encadrements en pierre de taille, huisseries en bois et contrevents peints en blanc. La façade tournée vers le parc est sensiblement différente, avec des baies également en plein cintre, disposées autour de plusieurs axes de symétrie, et des extensions qui s'y adossent : deux orangeries, construites aux extrémités du corps principal. Strictement identiques, élevées d'un niveau et éclairées par des verrières à petits carreaux, celles-ci abritent aujourd’hui de multiples espèces de plantes.
Les dépendances forment quatre bâtiments en enfilade élevés d'un niveau, construits dans la pente et de hauteurs légèrement distinctes. Les baies, à disposition asymétrique, sont de formes, de tailles et de matériaux divers.
Les toitures des divers bâtiments du domaine, à un ou deux pans, sont en tuile canal, surmontées de multiples cheminées en brique.
Le château
En très bon état de conservation, il a été repris au début du 21e s. par des occupants désireux d'imprimer un style britannique à l'ensemble des pièces de l'édifice. Il a ainsi bénéficié en 2008 d'une rénovation, concentrée sur les revêtements des sols et des murs, accompagnée d'un ameublement soigné.
Le rez-de-chaussée
Une porte-fenêtre ouvre sur un vestibule d'où part un escalier en bois avec garde-corps en fer forgé et main courante en bois, qui conduit aux étages. À droite, une première porte mène au grand salon avec cheminée Louis XV en marbre, ainsi que deux grandes fenêtres et une porte-fenêtre qui dispensent une abondante lumière. La deuxième porte donne accès à une grande cuisine aux teintes vives rouges et bleues, empreinte de traditions britanniques, avec vue sur la piscine. À gauche du hall d'entrée, la salle à manger au sol couvert de dalles en terre cuite, avec cheminée en brique et murs peints en bleu, un dégagement et une arrière-cuisine au sol carrelé rejoignent un grand bureau au sol couvert de coco qui ouvre sur une première orangerie.
Le premier étage
Desservi par l'escalier qui relie les différents niveaux, il est essentiellement composé de grandes chambres à coucher aux sols couverts de dalles anciennes en pierre ou de carreaux en terre cuite. Un large palier à la décoration baroque et aux couleurs éclatantes mène aux deux plus grandes chambres. À droite, se tient la chambre principale, avec trois fenêtres, des murs tapissés, un plafond mouluré aux poutres coffrées et une grande salle de bains attenante, située dans la tour. À gauche, la deuxième chambre contraste avec la première, par ses murs peints en blanc, son sol couvert de carreaux en terre cuite, sa cheminée en marbre et en brique, ainsi que sa vaste garde-robe maçonnée, qui forme à un angle de la pièce un quart de rond. Se succèdent trois autres chambres, toutes tournées vers le parc, avec une salle de bains et une salle d'eau attenantes. Les fenêtres du 18e s. ont toutes été conservées, la luminosité est permanente et la vue imprenable sur les vallons, le parc et la piscine.
Le deuxième étage
Il comprend six chambres au style champêtre, éclairées par de petites fenêtres identiques, avec vue sur le parc. Ici, les poutres sont apparentes, là, les plafonds mansardés ; les sols sont couverts de moquette ou de fibres de coco. La décoration n'est pas sans rappeler le style caractéristique des cottages de la campagne britannique.
Les dépendances
Les occupants actuels ont souhaité insuffler aux bâtiments de dépendances une nouvelle vie. Trois gîtes y ont été aménagés. Les éléments anciens ont été scrupuleusement conservés et l'aménagement des lieux a été réalisé avec soin, en utilisant des matériaux de grande qualité et en veillant à l'harmonie esthétique de l'ensemble.
Le premier gîte comprend une pièce de vie avec cuisine ouverte, une chambre à coucher et une salle d'eau. Les poutres en bois, les dalles en terre cuite et le bar en pierre donnent un style rustique à l'ensemble. Entre la pièce à vivre et la chambre, une séparation a été créée qui fait jouer pierres et poutres, petit clin d’œil aux vieilles étables.
Le deuxième gîte comprend une pièce de vie avec vue sur les vallons lauragais et escalier en bois, deux grandes chambres à coucher et une salle d'eau ; les sols sont pour l'essentiel couverts de carreaux en terre cuite.
Dans le troisième, les parquets ont pu être sauvés, ainsi que les vieilles portes, dans la pièce principale et les deux chambres ; comme dans les autres gîtes, les poutres sont apparentes. Enfin, à chaque unité d'habitation sa terrasse en bois, avec une vue dégagée et un accès depuis le parc, via un escalier en bois. Cet ensemble rénové avec soin accueille tout au long de l'année des hôtes de passage.
Le parc et les prairies
Étendu sur plus de 6 ha, clos de haies arbustives, enherbé et peuplé d'arbres centenaires, le parc regorge d'essences nobles de feuillus et de conifères : chênes, frênes, marronniers et cèdres, notamment. Les prairies, où cohabitent ânes et moutons, prolongent naturellement le parc, légèrement vallonné, avec lequel elles se confondent presque. À l'arrière du château, une grande terrasse en pierre permet d'organiser de grands dîners, à la belle saison, en profitant de la nature environnante, protégée et entretenue avec soin. Elle est bordée par une piscine d'environ 12 m x 6 m avec plages en pierre, bâtie en contrebas du parc dans une partie qui, adossée à un muret, forme comme un cirque. Celle-ci est ombragée et protégée des regards par une haie et par un bosquet qui s'étend jusqu'à l’extrémité du bâtiment de dépendances où se trouve une seconde piscine. De forme similaire mais de dimensions plus modestes – 8 m x 4 m environ –, cette dernière est dévolue aux gîtes et entourée de haies.
Ce que nous en pensons
Immergée dans la campagne lauragaise, la propriété est une promesse de vie authentique : des intérieurs chaleureux à la décoration intimiste et généreuse, au style haut en couleurs ; un environnement privilégié et un vaste parc aux arbres remarquables, qui préservent les habitations de toute nuisance.
Les occupants actuels veillent sur une propriété qu'ils ont patiemment rénovée, avec le soin que dicte le charme des lieux. L'ambiance chaleureuse et bucolique des gîtes s'accorde au paysage qu'ils regardent jusqu'au lointain. Le calme est ici coloré, vivant et vaste comme les espaces qui l'inspirent.
2 200 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 435682
| Surface cadastrale | 6 ha |
| Surface du bâtiment principal | 450 m2 |
| Nombre de chambres | 12 |
| Surface des dépendances | 200 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
