En Bourgogne, à moins de 2 h de Paris, un château et
son pigeonnier devenu gîte de caractère, entourés d'un parc de 5 ha
son pigeonnier devenu gîte de caractère, entourés d'un parc de 5 ha
Auxerre,
YONNE
bourgogne
89000
FR
Situation
Implantée à moins de 2 h de Paris, la propriété se trouve dans le nord-ouest de la Bourgogne et le centre du département de l'Yonne, à mi-distance entre Chablis et Auxerre, accessibles tous deux en 15 min de route.
Le domaine est situé dans une contrée foisonnante de monts et de ruisseaux, de forêts et de bois, tout en bénéficiant de l'attrait touristique du vignoble de Chablis et de l'abbaye de Pontigny, en pleine renaissance.
Deux gares à proximité desservent la capitale en 1 h 45 environ tandis que l'autoroute A6 est à 15 min.
Description
À la lisière du village, le domaine, apparaissant au bout d'un chemin bordé de haies, est desservi par une première allée privative, qui mène au pigeonnier, et par une allée bordée de platanes majestueux, conduisant au pont qui enjambe les douves asséchées pour accéder à la cour d'honneur.
Cette dernière réunit harmonieusement le château, dont la façade principale est orientée à l'ouest, son pigeonnier et l'ancienne grange, qui clôt l'espace. La propriété, qui s'étend sur 5 ha, domine un paysage bucolique marqué par de vastes étendues de prés et de bois.
Au 18e s., elle était le domaine de chasse des seigneurs de Seignelay, le pigeonnier au 1 300 boulins témoignant de son importance. La noblesse de l'architecture, des matériaux et revêtements employés, enfin des ornements intérieurs et extérieurs l'atteste également. Les façades des différentes constructions sont en pierre enduite ou jointoyée, les baies droites et les toitures majoritairement en croupe. L'ensemble est sobre, de belle étendue et de très bonne facture.
Cette dernière réunit harmonieusement le château, dont la façade principale est orientée à l'ouest, son pigeonnier et l'ancienne grange, qui clôt l'espace. La propriété, qui s'étend sur 5 ha, domine un paysage bucolique marqué par de vastes étendues de prés et de bois.
Au 18e s., elle était le domaine de chasse des seigneurs de Seignelay, le pigeonnier au 1 300 boulins témoignant de son importance. La noblesse de l'architecture, des matériaux et revêtements employés, enfin des ornements intérieurs et extérieurs l'atteste également. Les façades des différentes constructions sont en pierre enduite ou jointoyée, les baies droites et les toitures majoritairement en croupe. L'ensemble est sobre, de belle étendue et de très bonne facture.
Le château
Le bâtiment principal, élevé de trois niveaux, occupe une surface au sol d'environ 150 m². Les façades en moellon et pierre de taille, recouvertes d'un enduit clair et sobres par la quasi-absence de modénature, participent à l'élégance de l'édifice par leurs matériaux, coloris, proportions et symétrie. La porte d'entrée est le point central d'un axe de part et d'autre duquel de nombreuses baies se déploient régulièrement, droites, pleines de menuiseries à grands carreaux et protégées de contrevents en bois peint. Leurs encadrements sont en pierre de taille et une végétation abondante agrémente la façade principale. Enfin, un œil-de-bœuf éclaire les combles et anime la toiture à croupe en tuiles de Bourgogne.
Le rez-de-chaussée
La double porte en bois mouluré mène à un vestibule, qui abrite l'escalier principal, à quart tournant, avec marches en bois couvertes de tomettes et rampe à barreaux en fer forgé. Tous les sols sont en pierre de Bourgogne incrustée de cabochons, en tomettes ou en parquet en chêne. Les pièces principales bénéficient de fenêtres côté cour et côté parc, qui les rendent très lumineuses. À droite, une salle à manger est agrémentée d'une cheminée en bois. Non loin, se tiennent une cuisine avec piano de cuisson inséré dans une cheminée en pierre de Bourgogne, une arrière-cuisine et une buanderie. Un escalier de service permet une circulation aisée vers l'extérieur et l'étage. À gauche du vestibule, un salon jouit de boiseries moulurées, d'appui et de hauteur, et d'une cheminée en pierre de Bourgogne. Plus loin, se trouvent enfin une chambre à coucher, sa garde-robe et sa salle de douche. Des placards y occultent les toilettes. Toutes les pièces ont été repeintes récemment.
Le premier étage
Un palier, qui sert actuellement de bureau, dessert les pièces de part et d'autre, agrémentées de grandes fenêtres côté cour comme côté parc. Les sols sont couverts de tomettes. À gauche, s'ensuivent un salon-bibliothèque puis une chambre ornée de poutres apparentes et sa salle de douche avec toilettes. Cette pièce à coucher est accessible directement de l'extérieur par un escalier privatif. À droite, se présentent deux chambres en enfilade et un couloir menant à une grande salle de douche avec toilettes et à un escalier, qui descend vers la buanderie.
Les combles
Une grande pièce à la charpente apparente sert actuellement de salle de billard d'un côté et d'espace de couture de l'autre. Le sol est couvert de tomettes.
Le pigeonnier et le lavoir
Situé sur la gauche du château, le pigeonnier bénéficie d'un accès privatif qui garantit son autonomie. D'une surface habitable de 150 m² environ, sa construction en pierre remonte au 18e s.. Sa toiture est en tuiles de Bourgogne et ses baies sont encadrées de la même pierre blanche que les chaînes d'angle.
Les grandes portes-fenêtres de la salle de séjour et de la cuisine permettent de profiter de la cour gravillonnée et de la terrasse. La première, ornée de poutres apparentes, est agrémentée d'une cheminée en pierre et de bibliothèques. La seconde, équipée, sert également de salle à manger. Les sols sont couverts de dalles de Bourgogne, de tomettes ou de parquets en chêne. Un escalier en bois, avec rampe à balustres ouvragée, mène à deux grandes chambres sous combles et à une salle de douche, où les boulins restaurés sont apparents.
Enfin, du pigeonnier, un petit chemin mène au lavoir, qui abrite un jacuzzi et un salon d'été dans un cadre bucolique.
La grange
À droite du château, l'ancienne grange, avec façades en pierre, baies droites de formes diverses et toiture en tuiles à quatre pans, a été aménagée. Une baie vitrée métallique donne accès à une grande pièce cathédrale agrémentée d'un poêle à bois. Une salle de sport, une cuisine, une salle de douche et le local technique de la piscine extérieure complètent l'aménagement du bâtiment.
Entre outre, accolé à la grange, un espace couvert permet de garer deux automobiles.
Le parc, la piscine et l'étang
Le domaine couvre environ 5 ha largement enherbés, fleuris et arborés. Très soigné, il regroupe des espaces aux ambiances variées : la cour devant le château avec ses buis taillés, les prés qui entourent les anciennes douves asséchées devant et derrière le château, une pergola couverte de grimpantes, la piscine, protégée d'un volet translucide, entourée de platebandes de fleurs et d'arbustes, et l'étang environné de frênes et d'aulnes.
Ce que nous en pensons
Élégance, luminosité et espace s'imposent comme les maîtres-mots du lieu, qui a traversé les siècles en conservant les traces de son prestigieux passé quand il constituait le domaine de chasse des seigneurs de Seignelay.
Les occupants actuels ont orchestré une rénovation de qualité pour y adjoindre les atouts du confort moderne. C'est par conséquent une demeure familiale de très grande qualité, aussi chaleureuse que raffinée. Le pigeonnier ayant fait l'objet de soins particuliers, rien d'étonnant à ce que le gîte de caractère qu'il est devenu soit aujourd'hui constamment loué. De même, le parc, qui a été particulièrement soigné et bénéficie d'une piscine couverte ainsi que d'un étang, constitue un havre de nature et de paix des plus agréables.
Le prix comprend le fonds de commerce du gîte.
1 395 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 504141
| Surface cadastrale | 5 ha 25 a 45 ca |
| Surface du bâtiment principal | 300 m2 |
| Nombre de chambres | 7 |
| Surface des dépendances | 300 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
