Entre Carcassonne et Toulouse, dans un village de la montagne Noire,
un ancien corps de ferme du 18e s. et ses 9 ha de terre dédiés aux chevaux
un ancien corps de ferme du 18e s. et ses 9 ha de terre dédiés aux chevaux
,
AUDE
languedoc-roussillon
FR
Situation
Partagée entre quatre départements de la région Occitanie – l'Aude, le Tarn, la Haute-Garonne et l'Hérault –, la montagne Noire est une terre unique où se côtoient de denses forêts, des cours d'eau vivaces et des villages bucoliques. Elle constitue un territoire propice à la détente, aux découvertes culturelles et aux activités sportives de plein air. C'est dans la partie audoise de la montagne que se trouve la propriété, au sein d'un village au cadre champêtre, avec la nature et ses reliefs colorés à perte de vue, situé à 15 min de Castelnaudary, 35 min de Carcassonne et 1 h de l'aéroport international de Toulouse-Blagnac.
Description
Entourée de bois et de prairies pour chevaux, accessible par un chemin caillouteux, la propriété comprend six bâtiments distincts.
Le grand corps de ferme, logis principal, est séparé en deux habitations jumelles accolées, l'une abritant le logement des propriétaires, l'autre un gîte. Les murs sont en pierre et torchis, les toitures à deux pans de tuiles canal.
Cinq dépendances se tiennent à proximité, bâties également en pierre et coiffées de toits en tuile à deux pans : quatre écuries édifiées dans le même alignement et une petite bâtisse où se trouve un four à pain traditionnel.
Le grand corps de ferme, logis principal, est séparé en deux habitations jumelles accolées, l'une abritant le logement des propriétaires, l'autre un gîte. Les murs sont en pierre et torchis, les toitures à deux pans de tuiles canal.
Cinq dépendances se tiennent à proximité, bâties également en pierre et coiffées de toits en tuile à deux pans : quatre écuries édifiées dans le même alignement et une petite bâtisse où se trouve un four à pain traditionnel.
Le corps de ferme
Construit au 18e s., il regroupe deux bâtisses identiques, l'habitation familiale et un gîte, élevées de deux niveaux et coiffées de toits à deux pans. Les murs, en pierre locale et torchis, sont typiques de l'architecture lauragaise. Les couleurs de l'ensemble vont du beige à l'ocre. Les baies, encadrées de tuileaux ou de bois ne sont pas alignées, délivrant la façade de tout modèle de symétrie. En bordure des toits, des génoises à deux rangs agrémentent les sobres façades à pierre vue, sans modénature.
Enfin, la porte d'entrée, en bois et vitrée, est surmontée d'un auvent à un pan de tuiles canal.
Le rez-de-chaussée
Du côté de l'habitation familiale, il se compose d'une salle de séjour avec sol en parquet à lames larges, murs pour partie à pierre vue, poutres et plancher apparents au plafond, enfin escalier en bois avec sobre rampe en fer forgé. La pièce, lumineuse grâce à ses larges portes-fenêtres vitrées toute hauteur, communique avec un atelier chauffé par un grand fourneau à bois et un espace réservé aux loisirs. Dans la cuisine, une porte qui a été condamnée, pour plus d'intimité, assure la séparation avec le rez-de-chaussée du gîte. Celui-ci comprend une pièce de réception avec cheminée d'angle en pierre, parquet droit et pierre d'agrément au sol, enfin plafond à poutres apparentes soutenues latéralement par des fermettes, ainsi qu'une cuisine professionnelle carrelée qui jouxte la salle destinée aux festivités.
Le premier étage
Accessible depuis un escalier en bois, un couloir dessert quatre grandes chambres et une salle de bain. La première est couverte de bois, du sol au plafond. La deuxième bénéficie d'un parquet de chêne, d'un plafond blanc avec poutre apparente et de deux grandes fenêtres. La troisième, avec sa surface de quelque 28 m², peut être transformée au besoin en bibliothèque ou salon télé. Son parquet doré souligne son plafond à poutres et solives de teinte brune. De là, quelques marches à nez en bois permettent d'accéder à la quatrième chambre, parquetée et surmontée d'un plafond cathédrale.
Au bout du couloir, enfin, sur la droite, une porte condamnée fait face au premier étage du gîte. Une pièce unique s'étend sur tout le niveau, d'une superficie d'environ 200 m², et présente de nombreuses potentialités d'aménagement.
Les dépendances
Elles ont été édifiées dans un même alignement le long d'un chemin de terre qui part du corps de ferme. Au nombre de cinq, elles se composent de deux écuries qui peuvent être reconverties en gîtes, les changements de destination ayant été acceptés par la municipalité, de deux autres écuries et d'un petit bâtiment qui abrite un four à pain fonctionnel. Les sols sont en pierre ou en terre battue et les charpente en bon état.
Le terrain
Essentiellement consacré jusqu'alors à l'accueil des chevaux et largement enherbé, il se compose de prairies et de bois avec des arbres aux essences variées, sur une superficie de 9 ha. En contrebas de la propriété, coule une rivière.
Ce que nous en pensons
Une propriété authentique, au calme, dans un secteur où la nature est reine, et avec de beaux volumes à la décoration sobre, misant sur la noblesse des matériaux de construction ou de revêtement. Les différents bâtiments et les prairies environnantes permettent de débuter rapidement une activité qui tire partie du précieux emplacement, en pleine campagne audoise et à proximité de plusieurs grandes villes occidentales ; ou, plus simplement, de faire du domaine une agréable villégiature aux espaces multiples et aux usages souples.
L'ensemble nécessite des travaux de rafraîchissement et deux des quatre écuries peuvent changer de destination pour se faire gîtes ruraux. Préservé à bien des égards, le proche village forme un paysage tranquille, emblématique de la montagne Noire, avec ses cours d'eau et ses forêts, ses landes et ses prairies à moutons, son point culminant à 1 211 m et ses panoramas de la chaîne pyrénéenne, au loin.
750 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 798115
| Surface cadastrale | 9 ha |
| Surface du bâtiment principal | 600 m2 |
| Surface des dépendances | 300 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
