À 20 km de la cité médiévale de Provins, un domaine familial à vocation équestre de 15 ha,
avec pièce d'eau vive et nombreuses dépendances, dont 17 boxes à chevaux
avec pièce d'eau vive et nombreuses dépendances, dont 17 boxes à chevaux
Melun,
SEINE-ET-MARNE
ile-de-france
77000
FR
Situation
À tout juste 100 km au sud-est de la capitale, accessible en 1h 30 par la route N4, la propriété se situe à 20 km de Provins, desservie par TER depuis la gare de Paris-Est toutes les heures. Elle est proche d’un village de caractère reconnu et recherché pour son authenticité comme pour ses monuments historiques. Le village regroupe commerces et services de proximité : boulangerie, centre commercial, pharmacie, médecin, infirmiers, salon de coiffure ainsi que deux hôtels et leurs tables renommées.
Le domaine s'étend entre prés vallonnés, bois et bosquets verdoyants. Une petite route de campagne au trafic insignifiant serpente entre les prés équestres. Le bien est au calme absolu, dans une nature apaisante aux paysages variés, et compte un seul voisin, lui aussi passionné de chevaux.
Description
Comprises entre le parc et les prés longés par la petite route qui dessert la parcelle, la maison et ses dépendances correspondent aux anciens communs du château ici bâti, autrefois centre équin, et constituent désormais une grande propriété familiale à « vocation équestre ». Si les prairies et l’essentiel des structures techniques subsistent au sein de ce havre de paix devenu pension pour chevaux, le manège situé à l'extrémité du domaine a quant à lui été cédé. Les bâtiments sont accessibles depuis la route par un portail à double vantail. Le parc paysagé est traversé d’un ruisseau alimentant une pièce d’eau vive qui se jette dans l’Auxence, petit affluent de l’Yonne.
Diverses constructions aux usages variés prennent place. Se dresse tout d’abord la demeure, entre verger et cour, datant probablement du 18e s. et dont les fondations sont plus anciennes, comme l'atteste l’ancienne chapelle avec sa voûte sur croisée d’ogives du 16e s. Cette bâtisse, construite selon un plan en L, compte deux logis : le principal ainsi qu’un second en retour d’aile pour amis et famille. À la suite de ce dernier, se tient un bûcher. Face à la maison principale, se trouve une dépendance à usage de bureau, que complètent cinq petits boxes. Ces bâtiments s’articulent autour d’une cour ombragée dont le centre est enherbé et planté de cerisiers. La cour est bordée par un étang. Un hangar agricole à usage de bâtiment de stockage pour la nourriture des chevaux est flanqué de douze boxes et d’une sellerie. Deux ateliers s'inscrivent dans sa continuité. Un autre bâtiment avec cinq boxes à chevaux et une petite remise complète cet ensemble. La propriété possède aussi un rond de longe et une carrière à chevaux aménagés de l’autre côté de la petite route.
Diverses constructions aux usages variés prennent place. Se dresse tout d’abord la demeure, entre verger et cour, datant probablement du 18e s. et dont les fondations sont plus anciennes, comme l'atteste l’ancienne chapelle avec sa voûte sur croisée d’ogives du 16e s. Cette bâtisse, construite selon un plan en L, compte deux logis : le principal ainsi qu’un second en retour d’aile pour amis et famille. À la suite de ce dernier, se tient un bûcher. Face à la maison principale, se trouve une dépendance à usage de bureau, que complètent cinq petits boxes. Ces bâtiments s’articulent autour d’une cour ombragée dont le centre est enherbé et planté de cerisiers. La cour est bordée par un étang. Un hangar agricole à usage de bâtiment de stockage pour la nourriture des chevaux est flanqué de douze boxes et d’une sellerie. Deux ateliers s'inscrivent dans sa continuité. Un autre bâtiment avec cinq boxes à chevaux et une petite remise complète cet ensemble. La propriété possède aussi un rond de longe et une carrière à chevaux aménagés de l’autre côté de la petite route.
Les espaces extérieurs
Un verger planté d'arbres fruitiers, un jardin intérieur abritant des cerisiers aux fruits juteux ainsi soustraits à la gourmandise des oiseaux, un parc foisonnant aux essences subtiles d’érables pourpres, de sapins, cerisiers fleurs, saules pleureurs et somptueux peupliers italiens de quelque 45 m de hauteur. Ces géants majestueux bordent l’étang et son petit bassin, alimentés par un ruisseau. Trois sources vives parcourent le domaine. Pas de moustiques selon l'occupant actuel, puisque l’eau poissonneuse n’est pas stagnante. Des massifs flamboyants d’hortensias se développent à l’ombre des murs. Non loin, se trouvent deux puits en eau, dont un devant la terrasse.
Au-delà, ce sont des prairies à chevaux verdoyantes bordées de bosquets ; plus loin encore, des bois, bien qu’ils ne fassent plus partie du domaine, offrent au regard un horizon de liberté.
La maison
Constituée d'un logis principal complété d'une aile, elle formait jadis une dépendance du château. Elle est scindée en trois bâtiments distincts : le corps principal, daté des 16e et 17e s. et élevé de trois niveaux, jouxte perpendiculairement une construction du 15e s. qui abrite la chapelle. Ces deux bâtisses d'époques distinctes communiquent et ne constituent désormais qu'une seule et même habitation. En retour d'angle, se trouve une seconde maison, pour les amis ou la famille de passage, haute de deux niveaux.
Les murs sont appareillés en pierre, enduits et percés de baies de fenêtres hautes. Les toitures en tuiles plates de pays sont percées de quelques lucarnes à fronton et ne possèdent pas de gouttières ; il ne s'agit pas d'un manquement, mais d'une caractéristique architecturale propre à ce type d'édifice.
Le rez-de-chaussée
Sur le côté gauche, une porte à double vantail ouvre sur la chapelle du 15e s. au remarquable plafond en voûtes d'ogives, autrefois chapelle privée du château, dont la superficie est d’environ 75 m². L’espace, éclairé par des ouvertures réduites, laisse pénétrer une lumière tamisée. Deux petites fenêtres carrées aux volets intérieurs en bois sont complétées d'un œil-de-bœuf au niveau du pignon antérieur. Le sol est recouvert de petits carreaux en terre cuite. Aujourd’hui, ce lieu insolite est réservé aux évènements heureux de la famille. Le rez-de-chaussée de la maison centrale est aménagé comme un sous-sol avec sa chaufferie, son ancienne cuisine, spacieuse et claire, et ses toilettes. La cuisine, qui a conservé son évier, fait aujourd'hui l'objet d'un usage d'appoint et sert d'office aux traiteurs pour des réceptions, outre son utilisation comme buanderie. Le sol est recouvert de carreaux de ciment aux dessins noirs et blancs. Une communication existe entre le rez-de-chaussée et l’ancienne chapelle, permettant d’utiliser l’ancienne cuisine pour les fêtes et dîners organisés dans la salle voûtée.
Le premier étage
Dans le corps d'habitation principal, la porte d'entrée ouvre directement sur un escalier menant au deuxième niveau, situé au-dessus de la chapelle. Il dessert une salle à manger et un salon, dont les plafonds à solives laissent apparaitre trois poutres d'envergure, sculptées à partir d'arbres complets. Éclairées de baies traversantes, ces deux pièces sont très lumineuses. Elles sont séparées par des pans de bois apparents. Une imposante cheminée en pierre caractérise la salle à manger, ouverte sur une confortable terrasse orientée plein sud. Une cheminée en marbre classique participe à l'ambiance plus feutrée du salon. La cuisine, au sol en tomettes anciennes, communique avec la salle à manger et la terrasse. Fonctionnelle, elle est baignée de clarté. Du côté 17e s. du logis, se tient une chambre avec alcôve encadrée de deux petites garde-robes, aux murs couverts de toile de Jouy, suivie d'une salle de douche et de toilettes parquetées en chêne. Un bureau pourrait faire office de deuxième chambre puisqu'une seconde salle de bain au sol carrelé se trouve à cet étage.
Le second étage
Ce niveau, mansardé, s’ouvre sur un palier parqueté peint de couleur crème qui dessert trois chambres : la première, à l’est, est illuminée par une lucarne et parquetée en pin teinté de peinture claire ; la seconde, également à l'est et parquetée, compte deux lucarnes ; la troisième, exposée au nord, est éclairée d'une fenêtre. S'y ajoute une salle de douche avec toilettes. Enfin, dans la partie la plus ancienne, un grenier laisse voir la charpente, massive et bien entretenue.
La seconde maison
Ce bâtiment, en retour d'angle de l'habitation principale, est sensiblement plus bas que cette dernière et se présente comme une longère. Le logis est néanmoins élevé de deux niveaux sur caves. Surmontées d'une toiture à deux pans en tuiles plates de pays, ses façades sont enduites et percées de nombreuses ouvertures encadrées de briques. Au rez-de-chaussée, portes-fenêtres et fenêtres alternent. L'étage est éclairé de fenestrons et de deux fenêtres.
Le rez-de-chaussée
L’entrée dessert plusieurs accès dont une cave et une cuisine aménagée, au sol parqueté. La pièce, traversante, lumineuse et de bonnes dimensions, permet d'installer un confortable espace où prendre ses repas. Un local technique (avec chauffe-eau et chaudière à fioul) ainsi qu’une douche et des toilettes se trouvent également près de l'entrée. Un vaste salon, traversant, lumineux et parqueté, bénéficie d'une cheminée fonctionnelle en pierre blanche sculptée.
L'étage
Le second niveau est composé de trois chambres : la première, en sous-pente, est éclairée par une lucarne ; la deuxième, plus petite, est parquetée en bleu ; la dernière, de taille intermédiaire, est parquetée en chêne à l'anglaise. Une salle d'eau carrelée, avec douche à l'italienne et double vasque, est éclairée par une lucarne. Des toilettes se tiennent non loin.
Le bûcher
Il se situe dans une grange ouverte en bois à toiture en tuiles plates de pays. Cette bâtisse agricole est implantée dans le même axe que la maison d'amis et lui fait suite sans être mitoyenne.
Le bureau
Il a été aménagé dans une ancienne écurie aux façades en briques et pierre et à la toiture en tuiles plates anciennes. L’intérieur de la pièce, au sol recouvert de dalles en terre cuite, a conservé son authenticité architecturale et sa mangeoire originelle. Utilisée comme bureau, elle occupe une superficie d'environ 25 m².
Les petits boxes
Quelques boxes pour petits animaux font suite au bureau.
Le bâtiment agricole, les douze boxes à chevaux, la sellerie et les ateliers
Un gigantesque édifice agricole ouvert sert d'entrepôt pour le stockage du foin. Il est flanqué sur ses parties latérales de deux fois six boxes à chevaux. Une sellerie et deux ateliers complètent le bâtiment, qui représente une surface d'environ 1 100 m², les ateliers couvrant quant à eux quelque 150 m².
Les autres dépendances
Toutes à usage équestre et fonctionnelles, elles comprennent un bâtiment de cinq boxes à chevaux, une petite remise, un rond de longe et une carrière à chevaux.
Ce que nous en pensons
Des près vallonnés, bordés de bosquets, où s'ébattent quelques chevaux. Tel est le spectacle quotidien qu'offre la vue panoramique depuis la terrasse du logis principal. Le domaine est aujourd'hui une pension équine, mais d'autres scenari sont envisageables, tant le cadre est bucolique et apaisant. Peu ou pas de voisinage. Une petite route très calme serpente entre deux prairies. L'ancienne chapelle est un lieu singulier et privilégié pour fêter les évènements heureux de la vie, et la maison d'amis ferait un gîte parfait.
À noter enfin que quelques parcelles supplémentaires de prairies et de bois, situées de l'autre côté de la route, peuvent être disponibles à la vente très prochainement.
Vente en exclusivité
1 290 000 €
Honoraires de négociation inclus
1 216 981 € Honoraires exclus
6%
TTC à la charge de l'acquéreur
Référence 328702
| Surface cadastrale | 15 ha 77 a 57 ca |
| Surface du bâtiment principal | 320 m2 |
| Nombre de chambres | 5 |
Voir le Diagnostic de Performance Energétique
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
