Dans le Maine-et-Loire, entre Cholet et Doué-en-Anjou,
une demeure de 1907, son parc paysager et sa dépendance
une demeure de 1907, son parc paysager et sa dépendance
Doué-la-Fontaine,
MAINE-ET-LOIRE
pays-de-loire
49700
FR
Situation
Dans le sud de la région Pays de la Loire et du département de Maine-et-Loire, proche du circuit « Vignoble et Patrimoine du Haut-Layon », la commune, ancien chef-lieu de canton, est intégrée à l’agglomération choletaise. Depuis la propriété, tous les commerces et services sont accessibles à pied. Une maison de santé comprend un laboratoire d'analyses et une vingtaine de praticiens, parmi lesquels sept médecins généralistes. Un espace culturel et un centre aquatique y ont été inaugurés récemment et le cinéma est classé « Art et essai ». Les villes de Doué-en-Anjou et de Cholet sont à respectivement 20 et 30 min environ par la route. Enfin, Angers est à 45 min et, de là, le TGV dessert Paris en 1 h 30.
Description
La silhouette de l'édifice s'impose dès l’entrée de la ville. Aussi appelée « Le Château » par les habitants, la maison de maître, achevée en 1907, fut construite par un ancien maire de la commune. Après Pierre Lefebvre et les frères Brunet, les occupants actuels en prennent possession en 1980.
La demeure est élevée de quatre niveaux. Les façades sont rythmées par les chaînages d’angle et les encadrements des baies où alternent la pierre de tuffeau, utilisée pour élever les murs de façade, et la brique, employée pour les murs de refend. La destination des pièces est lisible : les espaces de vie sont répartis de part et d’autre des espaces de distribution, placés au centre. Deux pavillons, ornés de quatre poinçons, sont coiffés chacun d'une toiture en ardoise à quatre pans, percée d’une lucarne à fronton cintré décoré de volutes néo-classiques. En retrait, le pan de couverture qui les relie est percé d’une lucarne à fronton triangulaire avec une baie surmontée d’un œil-de-bœuf.
Un parc aux accents anglais s'étend à l’arrière de la maison. Ses abords sont arborés et la perspective est libre sur le paysage. Une vaste dépendance y est implantée, élevée de deux niveaux.
La demeure est élevée de quatre niveaux. Les façades sont rythmées par les chaînages d’angle et les encadrements des baies où alternent la pierre de tuffeau, utilisée pour élever les murs de façade, et la brique, employée pour les murs de refend. La destination des pièces est lisible : les espaces de vie sont répartis de part et d’autre des espaces de distribution, placés au centre. Deux pavillons, ornés de quatre poinçons, sont coiffés chacun d'une toiture en ardoise à quatre pans, percée d’une lucarne à fronton cintré décoré de volutes néo-classiques. En retrait, le pan de couverture qui les relie est percé d’une lucarne à fronton triangulaire avec une baie surmontée d’un œil-de-bœuf.
Un parc aux accents anglais s'étend à l’arrière de la maison. Ses abords sont arborés et la perspective est libre sur le paysage. Une vaste dépendance y est implantée, élevée de deux niveaux.
La maison
Le rez-de-chaussée
Un hall de 30 m² environ ouvre d’un côté sur deux vastes salles de réception en enfilade, avec boiseries aux murs, corniches et rosaces au plafond, toutes d’origine. Les cheminées sont en marbre, noir et rouge. Dans un état de conservation remarquable et couvrant l’ensemble des sols du rez-de-chaussée, le parquet, datant de 1907, est en chêne, à lames fines et droites. De l’autre côté, un bureau et une cuisine prolongée d'un balcon ouvrent un panorama sur le parc. Enfin, un escalier en bois avec balustres en métal mène aux étages.
Le premier étage
Un palier en étoile distribue d’un côté deux chambres, chacune de plus de 26 m², parquetées en sapin. La première sert aujourd’hui de salle de billard. La deuxième comprend une cheminée en marbre et son plafond est décoré d’une corniche ainsi que d’une rosace. Au centre, une salle de bains aux allures de chapelle est percée d’une baie géminée en plein cintre, avec une importante hauteur sous plafond. De l’autre côté, deux chambres supplémentaires s'étendent sur plus de 20 m² chacune.
Le dernier étage
Initialement réservé au personnel, il a été rénové. Il comprend deux chambres parquetées et légèrement mansardées sous une charpente apparente ainsi qu’une salle d’eau. Un grenier donne à voir les élévations en tuffeau et en brique ainsi que les fermes à faux-entrait de la charpente.
Le sous-sol
Il s'étend sur toute la surface de la maison. Il comprend des espaces de stockage ainsi qu'une chaufferie. Une salle de réception avec cheminée d’époque et cuisine attenante y est également aménagée. Un plancher à voûtains en brique soutient le parquet du rez-de-chaussée.
La dépendance
Avec des volumes importants, l'ancienne grange est élevée de deux niveaux en brique, sur un côté du jardin. Longtemps laissée vacante, elle nécessite des travaux de réhabilitation.
Le jardin
À l’arrière de la maison, un jardin paysager, enherbé et planté de millepertuis, forsythias, pommiers du Japon, pêchers de vigne, yuccas et lauriers, s’élargit vers le parc. Les ruines d’un chenil en brique sont encore visibles entre les cèdres.
Ce que nous en pensons
Dans une ville à la fois vivante et tranquille, une maison de maître caractéristique du début du 20e s., au décor architectural éclectique et à la symétrie parfaite. L'ampleur des volumes et la lisibilité de l'agencement intérieur sont remarquables, de même que la luminosité d'ensemble, grâce à de nombreuses baies. La demeure a conservé de multiples éléments d’origine et forme un canevas authentique au sein duquel des travaux de rafraîchissement seront bienvenus. La grange présente enfin un fort potentiel d’aménagement au sein du parc, propice à la flânerie et aux pique-niques estivaux, en famille ou entre amis.
434 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 219178
| Surface cadastrale | 6890 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 360 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 400 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
