Dans le quartier le plus prisé d’Angers,
un hôtel particulier de près de 400 m² et son jardin, parfaitement rénovés
Angers, MAINE-ET-LOIRE pays-de-loire 49000 FR

Situation

Établi au cœur de la région Pays de la Loire et du département de Maine-et-Loire, l'hôtel particulier se trouve dans une rue calme du centre-ville, au sein du quartier le plus prisé d’Angers, à proximité des jardins du Mail, de l’avenue Jeanne-d’Arc et de la place du Lycée. Tous les commerces et services sont, de ce fait, faciles d’accès. À moins de 5 min, se tient tous les samedis l'un des plus grands marchés de la ville.
La gare TGV, qui dessert Paris en 1 h 30, avec une dizaine d’allers-retours quotidiens, est à 15 min à pied environ.

Description

La rue est bordée des deux côtés par les élégantes façades mitoyennes des immeubles construits à la fin du 19e s. et au tout début du 20e s. La façade principale de l'hôtel particulier est située côté rue. À l'arrière, le jardin est clos de murs. Enfin, le bâtiment dispose d’un garage situé juste en face.
Construit au tout début du 20e s., l'hôtel est élevé de quatre niveaux sur sous-sol. Il est recouvert d’une toiture à deux pans, en ardoise et percée d’une lucarne côté rue, en zinc côté jardin. La façade principale en pierre de tuffeau taillée est ornée d'une corniche à modillons. Chacune des baies du premier niveau est surmontée d'un fronton en anse de panier avec un décor de corbeille de fleurs et de fruits encadrée de rameaux. Celles du deuxième sont agrémentées de frontons curvilignes avec un bandeau à décor de coquilles et celles du troisième d'encadrements moulurés.
À l'arrière, l’hôtel est prolongé d'une aile en retour d’équerre avec, faisant la jonction entre les deux, une verrière récemment créée, d'environ 4,8 m de hauteur sous faîtage. Sur le toit de l’aile en retour d’équerre, qui ouvre directement sur le jardin, une terrasse a été aménagée. Enfin, une cave s’étend sous toute la surface de l’édifice.

L'hôtel particulier


Le rez-de-chaussée
Un vestibule accède à un premier salon et à un dégagement où sont logés l’escalier et l’ascenseur, qui distribuent tous les étages, ainsi que la volée de marches qui mène à la cave. La pièce ouvre sur un second salon, qui communique avec une cuisine-salle à manger, installée dans la verrière, et un couloir qui conduit au bureau. Il dessert également des toilettes japonaises et une garde-robe. Les murs du vestibule sont tapissés d’un papier peint d’origine et le sol est en carreau de ciment, également d'origine. Les deux salons sont richement ornés : corniches et rosaces ouvragées, moulures dorées sur les murs et lambris d'appui, cheminées en marbre blanc ou rouge et parquets à bâtons rompus en chêne. La cuisine-salle à manger communique également avec le dégagement de l’entrée et le bureau.

Le premier étage
Un palier ouvre sur un dégagement qui distribue deux chambres et une garde-robe. Chaque pièce à coucher est assortie d’une salle d’eau ou de bain avec douche, de toilettes et d’une garde-robe. L’une des deux est desservie par l’ascenseur, à l’arrière duquel un espace de rangement a été aménagé. À ce niveau aussi, les pièces sont ornées de corniches et de rosaces, de cheminées en marbre et d’un parquet en chêne clair posé à l’anglaise. Une buanderie a été installée à mi-étage.

Le deuxième étage
Le palier dessert une lingerie et un dégagement, qui distribue une chambre et un salon d'étage, tous les deux accompagnés d’une salle d’eau carrelée et de toilettes. Le salon, desservi par l’ascenseur, communique avec la terrasse de près de 17 m² et l’escalier qui dessert les étages. La pièce est équipée de matériel de cuisine dans un placard. Une cheminée en marbre gris est adossée contre l'un des murs de la chambre et le sol recouvert d'un parquet droit posé à l’anglaise dans chacune des trois pièces principales du niveau.

Le troisième étage
Un appartement climatisé, également desservi par l’ascenseur, a été créé sous les combles. Il est constitué d’un salon, d’une cuisine ouverte, d’une chambre avec une garde-robe et des placards, d’une salle de bains avec douche et de toilettes. Les pièces sont pour partie mansardées, les sols couverts de parquets ou de carreaux en terre cuite, recouverts de moquettes dans la chambre et le salon. Enfin, une vaste verrière orientée au nord-ouest permet de dominer la ville du regard.

Les caves
Accessibles depuis le rez-de-chaussée de l’hôtel ou depuis le jardin, elles couvrent toute la surface au sol de la maison. S'y trouvent une chaufferie, un espace qu'il est d’ores et déjà prévu d'aménager en cuisine d’été, enfin divers lieux de rangement et de stockage.

Le jardin

À l’arrière de l’hôtel, un verdoyant espace clos de murs a été paysagé autour d’un vénérable Vernis du Japon. Un bassin d’eau et une terrasse gravillonnée, bordée d'une petite balustrade en pierre et en terre cuite, y ont également été aménagés. Les frondaisons des arbres des jardins voisins dépassent généreusement les murs de clôture, élargissant le vert horizon.

Ce que nous en pensons

Un hôtel discret et raffiné, qui incarne avec panache toute l'élégance angevine. Entièrement rénovée dans les règles de l'art, la demeure est spacieuse et lumineuse. Le souci du détail y a été poussé à l'extrême, pour redonner son lustre à un intérieur d'époque « Art nouveau » assez remarquable. Des aménagements plus contemporains, dont une majestueuse aile sous verrière, ont apporté la touche de confort supplémentaire qui sied à une vie de famille d'aujourd'hui et au besoin de recevoir. À proximité immédiate, le jardin du Mail et l'avenue Jeanne-d'Arc forment encore aujourd'hui le centre névralgique d'une cité à taille humaine, à la douceur de vivre proverbiale.

1 995 000 €
Honoraires à la charge du vendeur


Voir le Barème d'Honoraires

Référence 695701

Surface cadastrale 326 m2
Surface du bâtiment principal 400 m2
Nombre de chambres 5
Surface des dépendances 20 m2

Voir le Diagnostic de Performance Energétique

Conseiller
Anjou

Denis Trassard +33 1 42 84 80 85

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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.

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