Situation
La Villa Marguerite s’élève discrètement au sein de Bordeaux-Caudéran, dans l’un des quartiers les plus prisés de la ville, appelé « ville-jardin » en raison de son atmosphère paisible et verdoyante. Les écoles renommées que sont Tivoli, L’Assomption ou encore Grand-Lebrun se trouvent à quelques pas, tout comme les courts de tennis de Primrose ou le golf bordelais. À quelques minutes de marche, le parc bordelais déploie ses allées ombragées, propices à la promenade ou à l’exercice. Le paysage urbain s’articule autour de demeures familiales ceintes de jardins luxuriants, sous l’ombre bienveillante la Chartreuse de Mirande, édifiée au 18 s. et classée MH.
Description
La maison
Le rez-de-chaussée
L’accès à l’entrée principale s’effectue par un perron au sud-ouest, précédé d’un escalier tournant en pierre de taille. Baignées de lumière grâce à de nombreuses baies, les pièces sont sises sous une hauteur de plafond de 3,30 m. Un salon avec cheminée en marbre veiné rouge précède une vaste bibliothèque. L’espace se prolonge par une salle à manger, elle-même équipée d’une seconde cheminée, également en marbre, aujourd’hui doublée d’un insert. Le sol est habillé d’un parquet en chêne à lames droites, uniformément réparti sur l’ensemble du niveau. Des moulures discrètes soulignent les plafonds, souvent rehaussés d’une rosace centrale. Dans le prolongement de la salle à manger, une cuisine de taille modeste et une véranda-jardin d’hiver, édifiée dans les années 1980, s’ouvrent sur le jardin orienté nord-est. Les deux espaces, à réinventer entièrement, constituent une base idéale pour la création d’une pièce de vie contemporaine tournée vers l’extérieur.
Le premier étage
Deux chambres aux dimensions généreuses occupent l’espace, chacune adossée à une grande baie tournée vers le jardin. Les moulures sobres et le parquet en chêne à lames droites créent un décor classique et élégant. Une salle de bains ainsi que des toilettes indépendantes voisinent les deux chambres. Le tout nécessitera quelques travaux de rafraîchissement.
Le deuxième étage
Aménagé sous les combles, il se compose de trois chambres, d’une salle de bains et de toilettes séparées. L’ensemble est modulable selon les besoins et une rénovation globale du niveau permettrait d’y créer un appartement indépendant.
L'entresol
Il comprend une ancienne cuisine avec une cheminée aujourd’hui hors d’usage, une chambre, des toilettes, ainsi qu’une salle d’eau. Un espace cave reste disponible pour un aménagement futur. Avec un accès distinct de l’entrée principale, le niveau peut, à l’instar du deuxième étage, être transformé en appartement autonome.
Le jardin
Clos sur l’ensemble de son pourtour et protégé de tout vis-à-vis, il entoure la maison avec naturel. Des arbres fruitiers, enracinés dans les haies, ponctuent l’espace. L’ajout d’une piscine renforcerait encore le confort de la propriété.
Ce que nous en pensons
Une demeure familiale qui a conservé toute sa noblesse. À l’abri d’un quartier paisible, où le temps semble suspendu, la Villa Marguerite se dresse avec dignité, empreinte du souvenir d’une vie de famille à la fois élégante et discrète. Ses façades venues de la Belle Epoque, ses volumes équilibrés et ses proportions pleines de mesure évoquent une époque façonnée par le désir de bâtir pour durer et d’ancrer la beauté dans la pierre. Le jardin, endormi sous le feuillage, semble attendre qu’une main attentive lui rende sa structure et sa poésie. À l’intérieur, chaque espace appelle un regard sensible, capable de révéler à nouveau les matières, les volumes et les lignes que le temps a estompés. La maison semble prête à accueillir une nouvelle génération, guidée par l’amour des lieux et le goût de la transmission.
1 800 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 303903
Surface cadastrale | 585 m2 |
Surface du bâtiment principal | 285 m2 |
Nombre de chambres | 6 |
Voir le Diagnostic de Performance Energétique
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.