Dans le 19e arrondissement, au pied du parc des Buttes-Chaumont,
prêt à emménager, un local commercial de 564 m² de deux niveaux sous verrière
prêt à emménager, un local commercial de 564 m² de deux niveaux sous verrière
Paris,
PARIS
paris
75019
FR
Situation
Le nom de « Buttes-Chaumont » est issu du célèbre parc de plus de 25 ha, qui se trouve à moins de 100 m du bien. Conçu par l’ingénieur Adolphe Alphand par ordonnance du baron Haussmann, sur une demande expresse de Napoléon III qui, de retour de Londres, charmé par les nombreux parcs et jardins dits « à l’anglaise » de cette ville, en ordonna la mise en œuvre. Le quartier est dénommé « Amérique », du nom des anciennes carrières d’Amérique, qui jusqu’en 1875 fournissaient gypse et pierre meulière pour la construction des immeubles et maisons des environs. Les traces les plus anciennes d’activité du quartier sont agricoles et viticoles. Sept moulins sont érigés au 16e s., documentés par le plan Roussel de 1730, qui subsistent jusqu’à l’ère industrielle. Un moulin semblable existe encore à Montmartre : « le moulin de blute-fin », plus connu sous le nom de « moulin de la Galette ». En 1895, Léon Gaumont installe rue des Alouettes et rue Carducci des ateliers de fabrication de matériel optique et photographique, qui sont à l’origine de la cité Elgé – L.G. initiales de Léon Gaumont – puis Gaumont en 1905, dénommé « le plus grand studio du monde ». L’arrivée de l’électricité va permettre la réalisation de tournages 24h/24. C’est l’heure de gloire du studio des Buttes-Chaumont, le centre René-Barthélemy, puis Radio Cinéma, RTF, ORTF et enfin SFP jusqu’en 1993.
Description
L'accès à ce bien en copropriété se fait par deux entrées : une porte cochère sur rue et une porte qui donne sur le couloir d'entrée de l’immeuble.
Passé le porche, un sas sépare l’accès au volume principal par une double porte en métal, vitrée dans sa partie haute.
Le volume d'environ 36 m de long par 8 m de large est couvert d'une toiture à deux pans dont la faitière, sur toute la longueur, culmine à plus de 7 m de haut, ce qui permet au bien de bénéficier de deux niveaux. Au rez-de-chaussée et au fond, une cloison au soubassement métallique à la partie haute vitrée placée à près de 8 m du mur du fond, divise la pièce en deux parties. Un espace sanitaire protégé par une porte se trouve à gauche en entrant dans le volume principal.
La structure porteuse est apparente. Verticalement, ce sont dix poteaux adossés aux murs à gauche et à droite qui suivent une trame régulière d’environ 4 m d'entraxe. La toiture à deux pans est portée par des éléments de charpente composés d’un entrait de près de 9 m de poteau à poteau, avec en son centre un poinçon et deux contre-fiches qui supportent les arbalétriers. Elle est percée d’un ensemble d’éléments vitrés formant verrière qui procurent une lumière zénithale. Des fenêtres de toit, dans son prolongement, assurent l'aération des lieux.
Sur les poteaux, au rez-de-chaussée, des consoles métalliques sont posées, qui supportent des poutres composées de trois profilés en I en métal peint, boulonnés bout à bout sur deux platines intermédiaires. Cette structure supporte le plancher de l’étage supérieur. Trois trémies d'environ 8 x 4 m, réparties sur la longueur de la partie droite de ce plancher laissent pénétrer la lumière zénithale depuis la verrière du toit. La sous-face visible des planchers est en bac acier. Les trémies sont protégées à leur pourtour par des garde-corps métalliques faits de lisses horizontales. La première trémie en entrant supporte l’escalier en L avec un palier intermédiaire. Construit sur deux limons métalliques qui supportent des marches sans contremarches, il contribue ainsi à la diffusion de la lumière. À l’étage, le volume est également divisé dans sa longueur par une cloison métallique au soubassement plein et vitrage en partie haute, à environ 8 m du mur du fond. On y accède par une double porte également vitrée. Les deux volumes fermés de l'étage et du rez-de-chaussée communiquent par une trémie. Tous les sols sont revêtus d’un parquet massif de fines lames de bois sur chant façon lamellé-collé.
Passé le porche, un sas sépare l’accès au volume principal par une double porte en métal, vitrée dans sa partie haute.
Le volume d'environ 36 m de long par 8 m de large est couvert d'une toiture à deux pans dont la faitière, sur toute la longueur, culmine à plus de 7 m de haut, ce qui permet au bien de bénéficier de deux niveaux. Au rez-de-chaussée et au fond, une cloison au soubassement métallique à la partie haute vitrée placée à près de 8 m du mur du fond, divise la pièce en deux parties. Un espace sanitaire protégé par une porte se trouve à gauche en entrant dans le volume principal.
La structure porteuse est apparente. Verticalement, ce sont dix poteaux adossés aux murs à gauche et à droite qui suivent une trame régulière d’environ 4 m d'entraxe. La toiture à deux pans est portée par des éléments de charpente composés d’un entrait de près de 9 m de poteau à poteau, avec en son centre un poinçon et deux contre-fiches qui supportent les arbalétriers. Elle est percée d’un ensemble d’éléments vitrés formant verrière qui procurent une lumière zénithale. Des fenêtres de toit, dans son prolongement, assurent l'aération des lieux.
Sur les poteaux, au rez-de-chaussée, des consoles métalliques sont posées, qui supportent des poutres composées de trois profilés en I en métal peint, boulonnés bout à bout sur deux platines intermédiaires. Cette structure supporte le plancher de l’étage supérieur. Trois trémies d'environ 8 x 4 m, réparties sur la longueur de la partie droite de ce plancher laissent pénétrer la lumière zénithale depuis la verrière du toit. La sous-face visible des planchers est en bac acier. Les trémies sont protégées à leur pourtour par des garde-corps métalliques faits de lisses horizontales. La première trémie en entrant supporte l’escalier en L avec un palier intermédiaire. Construit sur deux limons métalliques qui supportent des marches sans contremarches, il contribue ainsi à la diffusion de la lumière. À l’étage, le volume est également divisé dans sa longueur par une cloison métallique au soubassement plein et vitrage en partie haute, à environ 8 m du mur du fond. On y accède par une double porte également vitrée. Les deux volumes fermés de l'étage et du rez-de-chaussée communiquent par une trémie. Tous les sols sont revêtus d’un parquet massif de fines lames de bois sur chant façon lamellé-collé.
Ce que nous en pensons
L’intelligente réhabilitation de cet ancien atelier a su conserver et mettre en valeur les marqueurs architecturaux de type industriel. Avec ses structures métalliques apparentes, ses murs habillés de brique brute, ses verrières qui procurent une agréable lumière zénithale et ses grands volumes décloisonnés où la lumière naturelle se diffuse de façon optimale, il est prêt à recevoir plus de cinquante postes de travail. Les sols en lamelles de parquet blond adoucissent et réchauffent l'atmosphère industrielle du lieu. La proximité du parc des Buttes-Chaumont, les communications aisées grâce au réseau des transports en commun et les nombreux bars et restaurants à la mode des environs réjouiront ceux pour qui la socialisation est un élément essentiel à leur activité.
4 100 000 €
Honoraires de négociation inclus
3 904 762 € Honoraires exclus
5%
TTC à la charge de l'acquéreur
Référence 900853
| Surface totale intérieure | 569 m2 |
| Surface Carrez | 564 m2 |
| Hauteur sous plafond | 8.5 |
| destination des lieux | commercial |
| Nombre de lots | 28 |
| Montant moyen annuel de la quote-part de charges courantes |
3620 € |
Aucune procédure en cours menée sur le fondement des articles 29-1 A et 29-1 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 et de l’article L.615-6 du CCH
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
