À 15 min d'Orléans, au bord du Loiret,
une maison de maître de 1876 avec son jardin paysager de 6 000 m²
une maison de maître de 1876 avec son jardin paysager de 6 000 m²
Saint-Pryvé-Saint-Mesmin,
LOIRET
centre-val-de-loire
45750
FR
Situation
En région Centre-Val de Loire, dans l'ouest du département du Loiret, la propriété est implantée au sein d'un quartier paisible de village. Au 6e s., selon la légende, Maximin de Micy, également nommé saint Mesmin, ou Mesmin l’Ancien, aurait terrassé un dragon dans une grotte du lieu-dit, qui s’appelait autrefois Béraire et se voit rebaptisé, au 10e s., "Cappella Sancti Maximini" en hommage à son pieu sauveur.
Située dans une zone Natura 2000, la commune compte de nombreux sites archéologiques où ont été mis à jour des vestiges qui trouvent leur source dans différentes périodes, de l’époque gallo-romaine au haut Moyen Âge.
À quelque 5 km, Orléans concentre tous les commerces, services et structures nécessaires ; sa gare permet de rejoindre la capitale en 1 h environ.
Description
Située à l’angle sud de la parcelle où elle a été bâtie, la maison est bordée, d’une part, par une impasse et, de l’autre, par un chemin piétonnier qui longe le Loiret. Accolé au pignon nord, un garage accessible depuis la rue se prolonge par un grand préau. À proximité de ce dernier, une cour permet de stationner des véhicules et assure un accès direct à la maison. Un second portail, métallique, dessert également la cour, à proximité du pignon sud. L’entrée principale de la maison, enfin, donne sur la rue.
Comme le précise un écusson sur la façade, la construction de la demeure date de 1876. Édifiée en pierre et en brique, elle est élevée de trois niveaux et surmontée par une toiture à la Mansart en ardoise percée de lucarnes à fronton cintré et prolongée par un avant-toit bordé d'un lambrequin au sud. Les deux premiers niveaux sont principalement orientés est-ouest tandis que le troisième est tourné vers le sud ; tous trois sont séparés par des bandeaux d'étage moulurés. Des baies, toutes droites sauf au dernier niveau, où elles sont cintrées, et garnies de fenêtres à grands carreaux laissent entrer la lumière sur trois côtés et sont encadrées d’un bossage en pierre de tuffeau taillée et soulignées aux étages par des appuis de fenêtre moulurés.
Le jardin paysager, de près de 6 000 m², s’étend du nord au sud le long du Loiret, et inclut un espace piscine.
Comme le précise un écusson sur la façade, la construction de la demeure date de 1876. Édifiée en pierre et en brique, elle est élevée de trois niveaux et surmontée par une toiture à la Mansart en ardoise percée de lucarnes à fronton cintré et prolongée par un avant-toit bordé d'un lambrequin au sud. Les deux premiers niveaux sont principalement orientés est-ouest tandis que le troisième est tourné vers le sud ; tous trois sont séparés par des bandeaux d'étage moulurés. Des baies, toutes droites sauf au dernier niveau, où elles sont cintrées, et garnies de fenêtres à grands carreaux laissent entrer la lumière sur trois côtés et sont encadrées d’un bossage en pierre de tuffeau taillée et soulignées aux étages par des appuis de fenêtre moulurés.
Le jardin paysager, de près de 6 000 m², s’étend du nord au sud le long du Loiret, et inclut un espace piscine.
La maison de maître
Le rez-de-chaussée
L’entrée débouche directement dans un salon avec cheminée en brique et en pierre sculptée d’ornements. Le sol est en terrazzo. Cinq fenêtres et une imposte éclairent l'espace. Face à la porte, un escalier en bois à double quart tournant conduit aux étages. Derrière la volée de marches, une porte accède à une salle de séjour. Les fenêtres sont protégées de volets en bois et orientées à l’est. À droite de la pièce de vie, un couloir dessert des toilettes, puis une cuisine avec un îlot central et une salle à manger. Trois portes-fenêtres offrent une vue presque panoramique sur le jardin paysager et baignent la pièce de lumière grâce à une exposition sud. En face des baies, un couloir aménagé avec des placards dont les battants, en chêne, sont moulurés aboutit à une chaufferie, qui sert aussi de buanderie. À l’extrémité de la salle à manger, se trouve une chambre à coucher. Une porte-fenêtre permet de sortir directement dans le jardin. Enfin, la chambre se prolonge par une salle d’eau avec douche à l’italienne.
Le premier étage
L’escalier en chêne, à volée simple à double quart tournant puis à volée double, débouche d'un côté sur une salle de bains et deux chambres, dont l'une donne sur un grenier aménageable d'environ 100 m², et de l'autre sur une chambre avec toilettes. Cette dernière bénéficie de quatre fenêtres protégées de volets et d’une triple exposition ainsi que d'une cheminée en marbre gris veiné de blanc. Dans toutes les pièces des étages, le sol est parqueté en chêne.
Le second étage
Au dernier niveau, le palier distribue une cinquième chambre à coucher parquetée, qui bénéficie également d’une triple exposition. À l'extrémité de cette dernière, une porte s’ouvre sur une pièce qui était vouée à devenir une salle de bains.
Les dépendances
Elles se composent d’un garage qui donne directement sur la rue, d’une grange ouverte dans le prolongement et d’un appentis à l’arrière.
En outre, une ancienne remise est située à proximité de la cour, au nord.
Le jardin paysager
Entièrement remanié à partir de 2018, il a été conçu en cohérence avec la maison et son environnement. Les différents massifs ont été composés de manière à assurer la meilleure végétalisation possible en toute saison et à permettre un cheminement entre les allées. Les espèces endémiques se sont vu attribuer une large place, tels les magnolias, les érables et les tilleuls, qui s’accommodent avec un fusain d’Amérique, un arbre de Judée, des lilas des Indes. Les fleurs sont abondantes et présentent une extraordinaire variété de formes et de couleurs. Les myosotis, les crocus, les tulipes, les cyclamens et une collection de quelque 250 rosiers accordent leurs couleurs avec les nuances de vert des feuillages. Des iris, qui forment comme une allée d’honneur, bordent le chemin qui mène à la piscine, de 12 x 4 m, entourée d'une margelle en pierre. Leur floraison marque le début de la saison des baignades. Enfin, des haies persistantes entourent le jardin pour mieux préserver l’intimité de ses hôtes.
Ce que nous en pensons
Une maison de maître du 19e s. entièrement restaurée, avec un goût sûr et le souci d'employer des matériaux nobles en parfait accord avec son époque de construction, qui permettra aux futurs occupants de s’installer sans tracas, quoique de menus travaux soient à prévoir. L’exposition des pièces et les nombreuses baies dont elles bénéficient sont les garantes d'une luminosité idéale à chacun des trois niveaux de l'habitation. Tous les espaces, dans une élégante sobriété, sont valorisés par des ornements et des revêtements aux coloris variés, sous la dominance du blanc, caractéristiques des intérieurs cossus où le confort est aussi une affaire esthétique.
Les promenades entre les massifs du jardin paysager, parfois survolés par des oiseaux migrateurs, sont remarquables, dans un lieu propice à la rêverie et à la tranquillité. Sa situation dans une zone classée Natura 2000 en fait une résidence au voisinage privilégié, à la faune et à la flore extraordinaires.
Référence 804538
| Surface cadastrale | 6088 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 235 m2 |
| Nombre de chambres | 5 |
| Surface des dépendances | 70 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
