Situation
En région Île-de-France, dans le département de l'Essonne et à environ 20 km au sud-est de Paris, dans la boucle de l’Yerres et en bordure de la forêt de Sénart, la maison se trouve dans une ville qui fut un ancien fief seigneurial et domanial royal. Elle suscita un attrait tout particulier pour les personnages illustres du royaume et les artistes, qui en firent une banlieue de villégiature dès la fin du 19e s. Elle conserve encore aujourd’hui les riches demeures de l'époque. L’ensemble des services et des commerces de proximité sont à la disposition des résidents. À quelques pas du centre-ville et d'une gare de RER – qui permet de rejoindre Paris en 30 min–, la propriété est proche de l’autoroute A6 et des nationales N6 et N7 ainsi que de la Francilienne.
Description
La maison
Le rez-de-chaussée
L’accès à la demeure se fait par un long couloir, au sol en dallage orné de cabochons, au plafond agrémenté de moulures et aux murs couverts de lambris d’appui, qui distribue plusieurs pièces : tout d’abord à gauche, un salon que structure en deux parties une large ouverture en anse de panier. Il comporte un parquet en point de Hongrie, des murs garnis de lambris d’appui, une cheminée en marbre blanc et de multiples baies qui lui procurent une abondante luminosité. Une seconde porte s’ouvre sur le même corridor. Il dessert une salle de bains à une extrémité, et à l’autre extrémité, il donne sur une cuisine avec sa fenêtre. Ensuite, se trouve un escalier principal à noyau et quart tournant, et enfin, une salle à manger, semblable au salon, mais de taille plus modeste. Une porte adjacente à l’escalier permet d’accéder au sous-sol de la maison.
Le premier étage
Au sommet de l'escalier s'ouvre une première chambre munie d’un point d’eau, à laquelle trois grandes baies aux menuiseries anciennes apportent une grande luminosité. Après des toilettes, trois autres chambres se succèdent autour du palier. L’une d’elles donne accès à la salle de bains. Toutes arborent un parquet à lames droites et une cheminée en marbre.
Le second étage
Le palier y dessert à droite un petit espace qui fait office de grenier. Puis deux nouvelles chambres mansardées s’ouvrent successivement. Chacune d’elles possède un accès à un grenier adjacent en sous-pente. Le sol du niveau est en tomettes.
Le sous-sol
Il est accessible de l’intérieur de la maison et se compose principalement d’une série de pièces contiguës : trois d'entre elles servent d’espaces de stockage pour le matériel et de réserve, l'une fait office de cave à vins et la dernière reçoit l’actuelle chaudière.
Les dépendances
Les dépendances se composent d’un discret atelier d’artiste de près de 40 m², qui donne sur le jardin. Il est formé de deux pièces et d'une cuisine et se prolonge par un auvent d'environ 20 m², ouvert sur une cour pavée, qui permet de protéger un véhicule.
Le jardin
Il est entouré de murs et orné d’une végétation abondante et bucolique. Les multiples essences d’arbres qui le composent forment un espace de verdure à l’abri des regards.
Ce que nous en pensons
Une demeure bourgeoise du 19e s. par excellence, qui comporte les atouts d'un véritable îlot de tranquillité et de verdure en pleine ville, à quelques minutes à pied des promenades au bord de l'Yerres. Elle a fait l'objet d'une restauration soignée et d’un entretien constant de la part de ses actuels occupants. La demeure reste empreinte, de par sa qualité architecturale, de toute la finesse de la période impressionniste.
Elle recèle en ses murs de joie et de bonheur familial, et saura conquérir de nouveaux hôtes. Outre une mise au goût du jour, sa dépendance constitue un avantage supplémentaire et ouvre à de nombreuses possibilités, notamment l'extension de sa surface et l'utilisation professionnelle.
Référence 200960
Surface cadastrale | 1367 m2 |
Surface du bâtiment principal | 215 m2 |
Nombre de chambres | 6 |
Surface des dépendances | 50 m2 |
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.