Dans l'antique pays d'Houlme, près de Domfront et de Flers,
une ancienne ferme du 19e s. rénovée, son jardin arboré et son pré
une ancienne ferme du 19e s. rénovée, son jardin arboré et son pré
,
ORNE
basse-normandie
FR
Situation
Dans la bordure méridionale de la région Normandie et la partie occidentale du département de l’Orne, à l'orée de la Suisse normande, le Houlme est une terre d'histoire et de traditions. Au nord, s'étend le bocage herbager du bassin de Briouze, bordé de marais. Au sud, commence la forêt des Andaines. La propriété est située près du village de La-Chapelle-Biche, entouré de deux pittoresques vallons, formés par les ruisseaux du Gué et du Pont-Sec. La ferme est à 10 min du marché local ainsi que des services et infrastructures de Flers, dont la gare permet de rallier Paris en 2 h. Le bourg est à 3 h de Paris par la route
Description
À 10 min à pied du hameau du Val-Michel avec ses maisons traditionnelles en torchis et bois ou en granit, une petite route calme et vallonnée conduit à l'entrée de l'ancienne ferme. Une clôture à deux lisses rondes en bois est percée d'un portail sobre, qui ouvre sur une cour et son auguste tilleul. Une palissade de verdure cépée épouse la forme du relief qui ceint le jardin, planté d'essences variées. La cour est sertie du logis d'habitation et d'une étable aménageable, qui fait face à une grange et à une ancienne écurie.
Le bâtiment principal, du 19e s., est élevé de deux niveaux sous combles et coiffé d'un toit à deux pans en ardoise, percé d'une lucarne jacobine ainsi que d'une souche de cheminée en pierre de taille. La façade méridionale est bordée d'une terrasse de plain-pied, dallée de pierres, et embrasse la cour. La maçonnerie est en pierre cornéenne locale et pierre calcaire, travaillée en gros moellons soigneusement taillés. Les parements sont en schiste et les encadrements des baies en granit. Les couleurs de l'ensemble vont du beige au brun roux.
Le bâtiment principal, du 19e s., est élevé de deux niveaux sous combles et coiffé d'un toit à deux pans en ardoise, percé d'une lucarne jacobine ainsi que d'une souche de cheminée en pierre de taille. La façade méridionale est bordée d'une terrasse de plain-pied, dallée de pierres, et embrasse la cour. La maçonnerie est en pierre cornéenne locale et pierre calcaire, travaillée en gros moellons soigneusement taillés. Les parements sont en schiste et les encadrements des baies en granit. Les couleurs de l'ensemble vont du beige au brun roux.
Le logis du 19e s.
Le rez-de-chaussée
Via la terrasse, une porte d'entrée à deux vantaux vitrés ouvre sur un vestibule et son escalier blanc en bois. Dallée au sol comme le reste du niveau, l'entrée distribue sur un autre côté une salle à manger, chauffée par un poêle en fonte et en pierre, qui ouvre sur une cuisine équipée. Les teintes chaudes du bois et la fraicheur du blanc s'accordent en harmonie. La pièce, traversante, est illuminée par deux grandes baies vitrées. Dans son prolongement, se tient un salon avec plafond à la française et cheminée engagée en granit. Les hautes baies diffusent une douce luminosité. Un escalier en merisier à volées tournantes conduit à l'étage. À l'opposé, le vestibule dessert une arrière-cuisine ainsi qu'une buanderie avec un accès à l'ancienne étable.
Le premier étage
Du vestibule, l'escalier aborde un palier éclairé par une large baie vitrée. Il distribue deux chambres jouxtant des toilettes d'un côté et, de l'autre, en enfilade, une salle de bains ainsi que trois chambres. Les pièces à coucher sont toutes illuminées par des baies vitrées avec vue sur le jardin ou la campagne environnante. Un parquet en chêne massif enjolive tout le niveau.
Les combles
Ils sont composés d'une grande chambre mansardée avec mur et plafond partiellement lambrissés et peints, qui laisse apparaître l'ossature de la charpente, ainsi que d'une autre pièce à aménager.
Les dépendances
Situées aux abords de la cour, elles sont composées de ce qui formait autrefois, quand la ferme était en exploitation, une étable, une ancienne écurie, un poulailler et une grange.
L'étable
Bâtie dans le prolongement du logis d'habitation et à peine plus basse, elle est élevée de deux niveaux. La toiture d'ardoises, à deux pans, est percée de deux lucarnes-portes. Les murs sont montés en gros moellon et jointoyés. Elle est entièrement aménageable.
Le poulailler
Situé à proximité du tilleul, il présente un toit à deux pans en tôle et des façades en moellon taillé.
Le bâtiment de ferme
Face au logis et à l'étable, une ancienne écurie, qui abritait une porcherie et un abattoir, a été édifiée en moellon taillé et jointoyé et chapeautée d'un toit en ardoise à deux pans.
La grange
Face au poulailler et à l'orée du verger, elle est composée d'un garage et d'un hangar. Son toit en ardoise est à deux pans et ses murs sont en moellon. Un appentis à une seule pente est adossé aux murs.
Le jardin et verger
Le jardin enlace la cour et l'ancienne ferme. Son tapis est enherbé et des arbustes ou arbres aux essences variées lui donnent du relief. Un verger jouxte la grange. Un pré libre de plus de 1 ha peut être ajouté à l'ensemble pour y établir des chevaux.
Ce que nous en pensons
Une propriété qui, entourée de son grand jardin, évoque les gouaches du grand coloriste Julien Féron, « le peintre des pommiers en fleurs ». Au calme et sans vis-à-vis, l'ancienne ferme, chaleureuse et rustique, peut devenir une demeure de famille ou une villégiature agréable. Ses façades, illuminées de part en part, dévoilent un intérieur contemporain et intime des plus confortables. L'ensemble est dans un parfait état d'entretien. Rural et authentique, le Houlme alentour forme un paysage tranquille et varié, sillonné de cours d'eau et de forêts épaisses.
490 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 533914
| Surface cadastrale | 5355 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 207 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 400 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
