À 1 h 30 de Paris, dans l’Oise, un ancien lavoir devenu maison de campagne,
avec 2 ha de parc qui incluent un plan d’eau
avec 2 ha de parc qui incluent un plan d’eau
Achy,
OISE
picardie
60690
FR
Situation
Dans une région aux paysages de bocage, aux prairies dont les herbages sont propices à l'élevage bovin, la propriété est historiquement rattachée au pays de Bray picard. C’est un lieu bucolique et néanmoins proche des commodités. Paris est accessible par l’A16, tandis que Beauvais, son aéroport et sa gare se trouvent à 25 km. Les côtes de la Manche sont à une heure de route et Rouen à 72 km. Le premier bourg et les commerces de proximité se situent à seulement cinq minutes.
Description
Au sein du village, avec l’église pour voisine, protégée par de hauts murs en pierre et brique, la propriété se dévoile seulement lorsque la grille d’entrée s’ouvre. Face à une cour gravillonnée, la maison, de style néo-classique avec ses deux colonnes en façade, borde une rivière, et présente en arrière-plan un rideau végétal que forment les grands arbres centenaires. Au fond du parc, un vaste étang de près de 1 ha procure une impression de calme et de sérénité.
La maison
Au premier abord, la façade marque par sa silhouette. De faible hauteur, le soubassement en brique est surmonté d’une grande surface vitrée et d’une porte d’entrée encadrée de deux colonnes blanches. Cette structure originale s’explique par l’histoire du lieu : un ancien lavoir du château campé sur les hauteurs du village. La présence des colonnes est caractéristique de l’époque de construction de l’édifice, au début 19e s., d’inspiration « retour à l’antique », un style alors très prisé. L’importante surface vitrée vient de son ancien usage de lavoir, pour lequel l’activité des lavandières requérait une bonne luminosité. Le bâtiment a été transformé et agrandi au cours du 20e s. pour devenir une habitation, tout en conservant le caractère du bâtiment initial : des murs en brique, une corniche double, une couverture d’ardoises en croupe, percée de lucarnes et l’intégralité du rez-de-chaussée qui ouvre de plain-pied sur le jardin. Un étage vient parachever l’ensemble. Depuis la seconde guerre mondiale, l’atmosphère pittoresque de la propriété convient à des familles parisiennes qui l’occupent en tant que résidence secondaire. La bâtisse est plus grande qu’elle n’y paraît, sa superficie approchant les 200 m² habitables.
Le rez-de-chaussée
L’entrée principale ouvre sur une pièce de vie qui présente d’un côté une cuisine et de l’autre un espace repas. La lumière pénètre largement par la vaste surface vitrée de l’ancien lavoir. Les murs en brique blanchie répondent au plafond à voussures, entrecoupé de poutres en bois. Un carrelage à damiers gris et rouge-brun apporte une note des années 50 à cette pièce typique 19e s. Une discrète porte en bois permet de rejoindre la salle de séjour, aussi vaste que sobre. Un espace immaculé qui met en valeur les poutres du plafond cathédrale ainsi que la cheminée au manteau et trumeau en bois naturel sculpté. Le sol est couvert de tommettes hexagonales. La salle de séjour est lumineuse grâce aux cinq ouvertures et une double orientation. À côté de la cheminée, un dégagement rejoint l’escalier et un petit salon, au sol en tomettes, qui bénéficie d’une belle lumière traversante par les deux ouvertures, et dont une porte-fenêtre permet d’accéder au jardin. Une cheminée rustique trône sur le mur du fond. Autour du petit salon se répartissent trois chambres et une salle de bains, aux murs blancs et avec vue sur le jardin. Chacune bénéficie, grâce à sa porte-fenêtre à la française, d’un accès direct à l’extérieur. Deux sont couvertes d’un parquet mosaïque et une dispose d’un sol en tomettes. Du petit salon, un escalier en maçonnerie, aux marches en tomettes et nez de marche en chêne, rejoint l’étage.
L'étage
Une salle de jeu, au centre, distribue une chambre et une salle d’eau. Un petit dortoir et une autre chambre s’ajoutent au niveau. L’étage est mansardé et couvert d'un sol en tomettes. Les poutres sont apparentes.
Les dépendances
À droite du portail, de petits bâtiments de service en brique s’appuient sur le mur d’enceinte. Ils se composent d’une remise fermée, au toit à deux pans en petites tuiles plates et d’un appentis ouvert, d’une superficie d’environ 40 m². À l’autre extrémité du parc, au bord de l’eau se trouve une maison de pécheur convertie en abri pour bateaux, d’époque 1900, avec ses murs en rusticage : un parement de troncs ou de branches laissés bruts, qui sont une imitation. Enfin, un débarcadère en bois permet de faciliter l'accès à une barque.
Le parc
Sur un ensemble de deux hectares, la maison entourées de ses pelouses, d'un petit étang et de la rivière ne constituent qu’une partie du jardin. Celui-ci est prolongé par un parc planté d’arbres de haute futaie, derrière lesquels se cache un vaste plan d’eau, propice à la pèche ou aux jeux d’eau. Les deux ambiances contrastées forment deux paysages différents et participent à la magie du lieu.
Ce que nous en pensons
Un ancien lavoir transformé en « cottage » pour des occupants qui viennent se ressourcer le week-end dans un environnement bucolique et calme. Le cadre atypique de la propriété permet de vivre à l’écart, dans une bulle aquatique et verdoyante, à environ 1 h 30 de Paris, à deux pas de toutes les commodités et d’une gare. Il est aisé pour de futurs occupants de se projeter dans ce lieu remarquable, notamment pour son plan d’eau, sa rivière, dont on peut entendre le murmure, et ses arbres séculaires. Une propriété qui saura satisfaire les attentes d'une famille pour le week-end, les vacances et pourquoi pas, pour y vivre à plein temps.
Référence 479303
| Surface cadastrale | 2 ha |
| Surface du bâtiment principal | 200 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 40 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
