Au pied d'une bastide royale du Lot-et-Garonne,
une villa Belle Epoque, son parc, sa piscine, ses dépendances et sa vue vers le village perché
une villa Belle Epoque, son parc, sa piscine, ses dépendances et sa vue vers le village perché
Tournon-d'Agenais,
LOT-ET-GARONNE
midi-pyrenees
47370
FR
Situation
En bordure est du Pays de Serres, datée du 13e s., Tournon-d'Agenais est une des bastides du Lot-et-Garonne les plus remarquables. Labellisée Plus beau village de France depuis 2021 et reconnaissable à son clocher carré qui sert aujourd’hui de château d'eau, elle fait partie de ces villages perchés célèbres de la région et surplombe la vallée. Ceintes d'anciens remparts, les maisons en pierre blanche constituent un front bâti horizontal et profite d’une situation heureuse : à la fois de l'attrait d'un lieu verdoyant et serein et d'une campagne chaude sans sécheresse. La cité est aussi proche des villes modernes et de leurs services : Agen et sa gare TGV ainsi que Cahors avec son accès à l'autoroute sont chacune à 40 km. L'aéroport de Toulouse est à 1 h 30, celui de Bordeaux à 2 h.
Description
Depuis la route départementale et à seulement quelques minutes de toutes les commodités, un chemin privé forme une vaste spirale et longe la propriété par le nord, bordé de futaies et grands arbres, il conduit 300 m plus loin au portail. D'ici, la façade est de l’élégante demeure de maître de la fin du 19e s. se dévoile au travers des arbres et arbustes du parc. Passé le portail, l'allée gravillonnée s'élargit devant le perron pour permettre la descente des visiteurs et se poursuit ensuite jusqu'au garage quelques mètres plus loin.
La villa, d’environ 350 m², se distingue par ses proportions équilibrées et son architecture soignée. Une demeure bourgeoise, témoignage d'une architecture soignée où les façades sont ordonnancées de travées régulières et d'éléments décoratifs discrets. Ils révèlent une construction pensée avec soin. Elle est composée d’une vaste cuisine, d’un salon, d’une salle à manger, de six chambres et quatre pièces d’eau, adossés à plusieurs pièces de service. Constituée de brique et de pierre, parée d'un enduit clair, inspirée des constructions des villes thermales, elle est un témoin de l'architecture de la Belle Epoque. Les baies, généreuses et parfaitement alignées, sont doublées de persiennes en bois peint d'une chaude teinte brune qui dialogue avec les détails de brique. Le toit à deux pans, percé d'oculi décoratifs et couronné d'un épis de faîtage ouvragé, confère à l'ensemble une silhouette distinctive dans le paysage lot-et-garonnais.
Le parc s'étend sur 2,5 ha, arboré de grands cèdres, chênes et frênes et autres arbustes fleuris, dans un ensemble ordonné et harmonieux. Au sud de la maison, les dépendances en pierre et bois sont constituées d'un garage, d'une grange et d'une écurie avec sa carrière. A l’ouest, est installée une grande terrasse bordée d'une balustrade ornementale d'époque, située entre la façade et la piscine d'où la vue grimpe vers la bastide royale.
La villa, d’environ 350 m², se distingue par ses proportions équilibrées et son architecture soignée. Une demeure bourgeoise, témoignage d'une architecture soignée où les façades sont ordonnancées de travées régulières et d'éléments décoratifs discrets. Ils révèlent une construction pensée avec soin. Elle est composée d’une vaste cuisine, d’un salon, d’une salle à manger, de six chambres et quatre pièces d’eau, adossés à plusieurs pièces de service. Constituée de brique et de pierre, parée d'un enduit clair, inspirée des constructions des villes thermales, elle est un témoin de l'architecture de la Belle Epoque. Les baies, généreuses et parfaitement alignées, sont doublées de persiennes en bois peint d'une chaude teinte brune qui dialogue avec les détails de brique. Le toit à deux pans, percé d'oculi décoratifs et couronné d'un épis de faîtage ouvragé, confère à l'ensemble une silhouette distinctive dans le paysage lot-et-garonnais.
Le parc s'étend sur 2,5 ha, arboré de grands cèdres, chênes et frênes et autres arbustes fleuris, dans un ensemble ordonné et harmonieux. Au sud de la maison, les dépendances en pierre et bois sont constituées d'un garage, d'une grange et d'une écurie avec sa carrière. A l’ouest, est installée une grande terrasse bordée d'une balustrade ornementale d'époque, située entre la façade et la piscine d'où la vue grimpe vers la bastide royale.
La villa
L'habitation développe environ 350 m² habitables répartis sur trois niveaux. À l'intérieur, de vastes pièces s'articulent avec élégance, baignées de lumière naturelle. Les cheminées, aux caractéristiques distinctives d'inspiration Art nouveau, ont été parfaitement conservées. La distribution des pièces respecte l'organisation d'origine avec un vaste hall à chaque niveau, qui permet une circulation fluide et apporte perspective et profondeur. L'escalier principal, élément structurant, dessert les étages où se déploient les chambres et leurs salles d'eau.
Le rez-de-chaussée
La porte d'entrée à double vantaux surmontés d'une imposte, ouvre sur une volée de sept marches en haut desquelles, par une autre double porte, s'ouvre le hall, élément central pour une circulation fluide entre les pièces. Face à l'entrée, un salon communique avec une salle à manger, elle-même à côté de l'office aujourd'hui aménagée en une cuisine fonctionnelle. De cette pièce, l'escalier de service conduit à l'étage inférieur. D’un côté du hall d'entrée, la cage d'escalier fermée est lumineuse grâce à de hautes baies. À l’opposé, un bureau jouxte des sanitaires. Les sols sont parquetés de chêne blond tandis que les plafonds à la française sont peints de blanc et les murs sont tapissés ou peints dans des camaïeux de beige.
Le premier étage
Sa distribution reprend le schéma du niveau inférieur et présente, agencées autour du hall, trois chambres, chacune avec salle de douche et toilettes. L'ensemble est lumineux, les détails et la décoration soignés. Les sols ici aussi sont parquetés de chêne, les plafonds en plâtre blanc moulurés, tandis que les murs sont peints ou recouverts de tissus tendus aux couleurs douces. Les huisseries en bois sont couvertes d’une patine écrue pour mettre en valeur les poignées et protections en laiton.
Le second étage
Dernier étage de la maison, le hall y dessert trois autres chambres et deux salles d'eau avec toilettes. Deux greniers sous rampants sont utilisés comme espaces de stockage. Les sols sont parquetés de chêne, les murs et plafonds en plâtre sont peints en blanc.
L'entresol
C’est l’étage dévolu à la cuisine, isolée des pièces de vie comme le voulait la tradition bourgeoise de l'époque. Grande et claire, la pièce est fonctionnelle et est équipée de grands placards sur toute sa longueur. Plus loin, une buanderie, une lingerie, une chaufferie côtoient des toilettes et une cave. Depuis la cuisine, une porte mène à l'extérieur par une volée de marches et un escalier de service permet de rallier l'ancienne office située à l'étage au-dessus.
La piscine
Avec ses dimensions généreuses (10 m x 5 m), elle s'étire tel un miroir bleu azur. Elle est équipée d’un système de filtration au chlore et bordée d’une terrasse en bois exotique, dont la patine naturelle s’accorde avec le paysage environnant. Les regards se perdent entre la demeure d’un côté et, à l’horizon, la silhouette harmonieuse de la bastide médiévale de Tournon-d’Agenais.
La grange
Bâtiment de pierre et de bois, installé commune une longère, la grange est séparée en plusieurs espaces, dévolus au rangement des outils de jardin et stockage du bois pour les cheminées.
Le garage
Un abri en bois, à la structure ouverte sur l’un de ses côtés, permet d’accueillir deux véhicules. Son agencement assure une circulation fluide, pour une entrée et une sortie aisées.
L'écurie
Érigée en bois, elle est composée de plusieurs espaces distincts. Elle comprend deux boxes ouverts sur la prairie attenante, ainsi qu’une zone de rangement accessible depuis l’allée principale, dédiée aux équipements et soins des animaux. Le bâtiment est relié à un vaste champ ceint d’une clôture équestre, soit un cadre idéal à l’accueil de deux équidés.
Le parc
Sur 2,5 ha entièrement clos, il offre un espace de verdure préservé des regards indiscrets. L'allée principale gravillonnée serpente depuis le portail en fer forgé jusqu'à la façade et distille des perspectives étudiées. Le patrimoine arboré constitue une des richesses de la propriété avec des spécimens centenaires. Cèdres du Liban, chênes pédonculés, platanes, châtaigniers et acacias apportent ombre et fraîcheur au rythme des saisons. Près de la villa, une gloriette en fer forgé habillée de rosiers grimpants ménage un joli lieu de repos en été. Plus loin, sous la ramure d'autres arbres, un espace de repas extérieur est aménagé. Le potager est organisé en carrés et conjugue l'utile à l'agréable. À l'arrière de la propriété, s'étend le pré des équidés, planté de quelques arbres isolés.
Ce que nous en pensons
Lovée dans les paysages vallonnés du Lot-et-Garonne, une demeure à la fois discrète, pleine de dignité, avec ses lignes sobres et équilibrées, typiques d’une architecture bourgeoise de la fin du 19e s. Sans jamais verser dans l’ostentation, elle exprime avec retenue et rigueur l’élégance propre aux maisons de notables ruraux. Derrière une façade ordonnée, les volumes généreux se dévoilent : hauteurs sous plafond, boiseries anciennes et parquets d’origine. L’ensemble, parfaitement entretenu, témoigne d’un soin constant apporté à sa conservation. Les pièces de réception, baignées de lumière, ont gardé leur distribution d’origine. L'implantation dans son terrain, à distance de la route mais avec une excellente accessibilité, est un atout supplémentaire. La présence d’une piscine, harmonieusement intégrée, souligne la capacité du lieu à évoluer avec son temps, sans trahir son identité et son caractère.
885 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 593298
| Surface cadastrale | 2 ha 58 a 20 ca |
| Surface du bâtiment principal | 340 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 50 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
