À 35 min au sud-ouest de Paris, une authentique propriété du 19e s.
avec sa maison de jardinier, sa serre, son orangerie et son parc de 1 ha
avec sa maison de jardinier, sa serre, son orangerie et son parc de 1 ha
Briis-sous-Forges,
ESSONNE
ile-de-france
91640
FR
Situation
Dans l'ouest de l'Île-de-France et le nord-ouest de l'Essonne, au sud-ouest de la capitale, le bourg où est implantée la propriété est accessible par l'autoroute A10 en 35 min depuis la porte d'Orléans et se trouve non loin du plateau de Saclay. La localité est notamment connue pour son église des 11e et 12e s. ainsi que son donjon, dont la légende raconte qu'Anne Boleyn y séjourna. À quelques encablures du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse, le bourg est au calme, blotti au centre d'espaces verts, tout en concentrant les principaux commerces, structures et services, dont des établissements scolaires allant jusqu'au niveau collège. En bus puis en RER, Paris est à environ 1 h de transport.
Description
À l'abri des regards, passé l'imposante grille d'entrée en fer forgé, qui fait face à l'église du village, un parterre à la française orné d'un bassin circulaire central et de pots Médicis se dévoile et guide le regard vers la bâtisse, située en contrebas. Avec ses façades enduites en blanc à la modénature sobre et raffinée, ses baies régulières à arc surbaissé avec garde-corps en fer ouvragé et persiennes peintes en blanc, son toit d'ardoise en croupe surmonté de lucarnes, de souches de cheminée, d'épis de faitage et de crêtes en zinc, la maison donne le ton d'une propriété soignée et cossue.
À gauche, l'orangerie, coiffée d'une toiture en zinc, se dresse à proximité de l'ancienne serre demi-lune d'origine, qui a été restaurée. À l'ouest, le parc planté de chênes centenaires s'étend tandis que, à l'est, la maison du jardinier, entièrement restaurée, bénéficie d'un accès direct depuis la place du village, qui lui donne ainsi une certaine autonomie.
À gauche, l'orangerie, coiffée d'une toiture en zinc, se dresse à proximité de l'ancienne serre demi-lune d'origine, qui a été restaurée. À l'ouest, le parc planté de chênes centenaires s'étend tandis que, à l'est, la maison du jardinier, entièrement restaurée, bénéficie d'un accès direct depuis la place du village, qui lui donne ainsi une certaine autonomie.
La maison de maître
Dressée sur trois niveaux, en partie sur cave, elle se caractérise par la symétrie de son architecture. Elle se compose d'un corps central surmonté d'une toiture à quatre pans en ardoise, couronnée d'un faîtage en zinc et percée de lucarnes à la jacobine ou en chapeau de gendarme. De part et d'autre de ce corps, deux ailes plus basses viennent parfaire la symétrie de l'ensemble. Le rez-de-chaussée de la partie centrale s'organise autour de l'entrée principale, accessible par un escalier en pierre. Le premier étage est éclairé par trois fenêtres à grands carreaux et deux œils-de-bœuf.
Le rez-de-chaussée
La porte d'entrée vitrée accède à un hall au sol couvert d'un dallage crème à cabochons noirs et aux murs parés de boiseries peintes à panneaux jusqu'à mi-hauteur. À droite, se tiennent des toilettes avec point d'eau. À gauche, une porte en bois commande un salon traversant, au parquet en point de Hongrie, agrémenté d'une cheminée en marbre blanc et éclairé par deux fenêtres exposées au sud et au nord avec volets intérieurs en bois. Non loin, se trouve une cuisine, entièrement équipée, où une porte vitrée, rappelant celle d'un atelier d'artiste, ouvre dans une arrière-cuisine, qui permet d'accéder aux caves. De retour dans l'entrée, à droite dans un renfoncement, un escalier en bois conduit à l'étage. Puis une porte mène à un second salon, au sol en parquet droit, qui pourra être réaffecté à un usage de salle à manger ou de bureau. La pièce est agrémentée d'une cheminée en marbre blanc sculpté à pattes de lion. Enfin, une salle d'eau parachève utilement le niveau.
Le premier étage
Accessible par l'escalier principal, ce niveau se compose d'un palier qui dessert quatre chambres ainsi qu'une salle de bains. Chacune des pièces à coucher a conservé des éléments anciens (notamment des parquets en point de Hongrie, des cheminées en marbre, des lambris d'appui à panneaux et des corniches de plafond moulurées).
Le deuxième étage
Accessible par un petit escalier, il s'ouvre par un palier qui dessert une salle de bains carrelée, deux chambres éclairées par des lucarnes, un grenier à aménager ainsi que des toilettes indépendantes.
Les caves
Accessible via un escalier situé dans l'arrière-cuisine, le sous-sol se compose de trois caves dont une à vin.
La maison de jardinier
Bâtie dans la partie sud-est de la propriété, elle bénéficie d'un accès direct depuis le parc ainsi que d'un second via un portail piéton qui donne sur la place de l'église et qui lui assure son indépendance. Élevées de deux niveaux surmontés d'une toiture en tuiles, ses façades en pierres apparentes ont été rénovées.
Le rez-de-jardin s'ouvre sur une entrée, depuis laquelle un escalier en bois dessert l'étage. À gauche, se tient une lingerie, où se trouve une chaudière, tandis que, à droite, une porte vitrée mène à une cuisine équipée. En enfilade, une porte commande un salon, au sol couvert d'un carrelage qui imite le parquet, agrémenté d'une cheminée.
L'étage se compose quant à lui d'un palier avec placards, au sol en parquet droit, qui distribue trois chambres elles aussi parquetées ainsi qu'une salle de bain carrelée. L'ensemble de la maison a fait l'objet d'une restauration soignée.
L'orangerie
Elle a été édifiée dans la partie ouest de la propriété, à proximité du portail principal, et présente des façades en pierres percées de vastes baies vitrées. La toiture en zinc à quatre pans a été restaurée. Une porte à petits carreaux et à deux battants permet d'y accéder. Elle offre un espace d'environ 20 m².
La serre
Implanté à proximité de l'orangerie, la serre en forme de demi lune est adossée à un mur en pierre. Elle est pourvue d'une coursive permettant d'ouvrir et de fermer les vasistas judicieusement placer pour l'aération. Elle a fait l'objet d'une restauration réalisée par les actuels propriétaires. Intérieurement, elle se compose de deux parties séparée par une porte vitrée. Elle a conservé des éléments anciens.
Les dépendances
Situées au sud du parc, dans le prolongement de la maison de jardinier, elles se composent d'une remise, qui fait office d'atelier et de lieu de stockage, ainsi que d'un garage et d'une réserve.
Le parc
Étendu sur une surface de plus de 1 ha, il se compose d'une partie située devant la maison, qui s'organise autour d'un bassin central agrémenté de parterres à la française, l'ensemble créant une perspective depuis le logis. À l'ouest, s'étend un bosquet planté de chênes centenaires et traversé par des allées agrémentées de bancs en pierre. Il est bordé sur son côté occidental par un mur en pierre en contrebas. Au sud, enfin, se dresse un kiosque ancien en bois.
Ce que nous en pensons
Demeure bourgeoise du 19e s. au premier regard, la propriété revêt les atours d'un véritable petit château à taille humaine agrémenté de son orangerie, de sa serre et de son parc aux arbres centenaires. Ayant bénéficié d'une restauration soignée de la part de ses actuels occupants, soucieux de lier le confort de la vie moderne à l'esprit du 19e s., la demeure semble encore aujourd'hui être le décor d'une œuvre de la Comtesse de Ségur. La maison du jardinier constitue quant à elle un atout supplémentaire pour qui souhaite une surface d'habitation étendue. Elle pourra se prêter à une exploitation en gîte ou en location annuelle et se fera ainsi génératrice de revenus substantiels. Enfin, sa proximité d'avec Paris permet d'hésiter, pour sa destination, entre demeure secondaire et résidence principale.
1 350 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 517468
| Surface cadastrale | 1 ha 2 a 89 ca |
| Surface du bâtiment principal | 403 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 120 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
