En Normandie, dans un parc de près de 2 ha planté d'arbres remarquables,
un manoir d'inspiration Renaissance italienne
un manoir d'inspiration Renaissance italienne
Champsecret,
ORNE
basse-normandie
61700
FR
Situation
Dans la bordure méridionale de la Normandie et la partie occidentale du département de l'Orne, entre La Ferté-Macé et Domfront-en-Poiraie, le manoir est situé à 30 min du Calvados. Alentour, s'étend la région du Passais, avec ses parcs et forêts, non loin des étangs de l'Ermitage et du site d'escalade de la Roche aux Dames. Le golf de Bagnoles-de-l'Orne est à 10 min. Implantée au centre d'un village aux maisons de granit, la propriété est à 250 km de distance de Paris et à 100 km du Mans. La gare de Flers ou de Briouze, à 18 min du bourg, permet de rejoindre la capitale en 2 h. Les courses du quotidien se font à pied ou à bicyclette.
Description
Dans un paysage vallonné, face à la forêt d'Andaines, le domaine se découvre depuis l'une des rues du village. Elle traverse un parc clos et arboré jusqu'à un portail en fer forgé marquant une ancienne entrée. Sur un côté, une ruelle dessert le hameau et permet de rejoindre l'entrée principale. Un premier bâtiment comprend des écuries et une charreterie. Au bout d'une allée, en position dominante, apparaît le manoir, précédé d'une avant-cour. Le corps central est flanqué sur un côté d'une tour à effet de pans coupés, qui abrite l'escalier principal. Un potager surélevé et une vaste remise s'étirent le long d'un mur en pierre à l'arrière de la bâtisse.
Construit en 1850, suivant un plan carré de 300 m², l'édifice d'inspiration Renaissance italienne est l’œuvre d'un riche propriétaire minier. D'une parfaite symétrie, la façade du corps principal, divisée en travées régulières, est constituée d'un appareillage bicolore de briques et de pierres de taille. L'ensemble est élevé de trois niveaux sur cave et coiffé d'une toiture à la Mansart, formée de deux pans droits et perpendiculaires, surmontée de hautes cheminées en pierre et percée de doubles lucarnes également en pierre. Deux œils-de-bœuf sont placés à l'avant. La façade est rythmée de cinq baies rectangulaires, deux au rez-de-chaussée et trois au premier étage. L'une est prolongée d'un balcon en fer forgé aux corbeaux en pierre. Côté est, huit baies se partagent le pignon, toutes surmontées de frontons en pierre de taille, ornés de mascarons aux têtes fantastiques, de chapelets de fleurs et de grappes de fruits baroques. Enfin, une tourelle en échauguette épouse l'une des façades.
Construit en 1850, suivant un plan carré de 300 m², l'édifice d'inspiration Renaissance italienne est l’œuvre d'un riche propriétaire minier. D'une parfaite symétrie, la façade du corps principal, divisée en travées régulières, est constituée d'un appareillage bicolore de briques et de pierres de taille. L'ensemble est élevé de trois niveaux sur cave et coiffé d'une toiture à la Mansart, formée de deux pans droits et perpendiculaires, surmontée de hautes cheminées en pierre et percée de doubles lucarnes également en pierre. Deux œils-de-bœuf sont placés à l'avant. La façade est rythmée de cinq baies rectangulaires, deux au rez-de-chaussée et trois au premier étage. L'une est prolongée d'un balcon en fer forgé aux corbeaux en pierre. Côté est, huit baies se partagent le pignon, toutes surmontées de frontons en pierre de taille, ornés de mascarons aux têtes fantastiques, de chapelets de fleurs et de grappes de fruits baroques. Enfin, une tourelle en échauguette épouse l'une des façades.
Le manoir
Le rez-de-chaussée
Les volumes sont importants. Une porte dont la partie supérieure est en fer forgé ouvre sur une vaste entrée, dallée de carreaux de ciment et bordée d'une frise, qui communique avec une salle de séjour et un salon via une double porte en chêne. Au fond du couloir, un miroir accentue la perspective. Dans les pièces, des cheminées en marbre sont surmontées de trumeaux. Les parquets sont en chêne, à points-de-Hongrie. Les hauteurs sous plafonds, liserés de corniches moulurées, dépassent les 3 m. Un escalier en bois à deux quarts tournants mène au premier étage. Accessible depuis l'entrée et la salle de séjour, une cuisine s'étend sur plus de 20 m². Meublée et décorée de faïence, elle est pavée au sol de tomettes. Une cheminée est adossée à l'un des murs. Une porte de côté donne sur une terrasse extérieure. Elle est éclairée par deux fenêtres.
Le premier étage
Un vaste couloir dessert quatre chambres parquetées et spacieuses. Deux salles de bains confortables leur sont associées. L'aménagement et la décoration sont de style baroque. Les meubles sont d'époque.
Le deuxième étage
L'ensemble est éclairé par des doubles lucarnes datées du 19e s. De chaque côté, l'une d'elles, au fronton en forme de chapiteau, est surmontée d'un ouvrage en pierre. Un large couloir en arche dessert l'espace mansardé, d'environ 70 m², qui compte deux pièces distinctes ainsi que des espaces à réinventer.
Les dépendances
À l'entrée de la propriété, un long bâtiment flanqué d'un pigeonnier servait autrefois d'écurie et de charreterie. Construit en brique, il est d'une surface de 80 m² environ. Une ancienne horloge de relais de poste est accrochée à la façade et le pigeonnier en pierre et brique, aux airs de tour de guet, est surmonté d'un toit polygonal.
Enfin, en contrebas du parc, une maisonnette affectée au logement d'un gardien est à réaménager.
Le parc et sa prairie
L'ensemble est composé d'arbres remarquables, plantés depuis plus d'un siècle, et bordé de pelouses, de bosquets de rhododendrons, de massifs de rosiers, d'arbres fruitiers. En contrebas, la bâtisse se reflète dans le bassin, comme face à un miroir. Une vaste prairie permet de recevoir des équidés sur le côté du manoir.
Ce que nous en pensons
Une élégante demeure Renaissance et baroque, digne d'un authentique manoir normand, dans les hauteurs de la forêt d'Andaines. Les façades sont d'une harmonie remarquable, leurs larges baies magnifiées de mascarons sculptés aux visages grimaçants. À l'intérieur, des cheminées en marbre aux meubles d'époque, l'atmosphère feutrée et bourgeoise est idéale pour organiser des réceptions. Les combles ne demandent qu'à être aménagés ; les dépendances, plus loin, forment un ensemble architectural raffiné et cohérent. Les bâtiments sont communément assortis d'un parc aux airs de jardin botanique ainsi que d'un bassin miroir, où l'onde reflète les hauts arbres de la prairie aux chevaux.
570 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 841535
| Surface cadastrale | 1 ha 66 a |
| Surface du bâtiment principal | 300 m2 |
| Nombre de chambres | 6 |
| Surface des dépendances | 100 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
