Dans la Vienne touristique, au milieu d'un parc traversé par une rivière,
une longère, un moulin fondé en titre et deux maisons d'amis
une longère, un moulin fondé en titre et deux maisons d'amis
Poitiers,
VIENNE
poitou-charentes
86000
FR
Situation
La propriété est située dans la partie septentrionale de la région Nouvelle-Aquitaine et la bordure orientale du Poitou, entre l’un des "Plus Beaux Villages de France", Angles-sur-l’Anglin, et l’abbaye de Saint-Savin, classée au patrimoine mondial de l’Unesco sont à moins de 15 mn. Le village médiéval de Chauvigny, avec ses commerces et services, n'est qu'à 20 min de route. La station thermale et le spa de La Roche-Posay, avec son golf, sont à 20 min. Châtellerault se rejoint en 30 min de voiture, Poitiers en 40 min. Les deux villes sont desservies par la LGV, qui permet de rallier Paris en 1 h 30 et Bordeaux en 1 h. Par l’A10, la capitale est à 3 h. Des vols quotidiens ou hebdomadaires pour Lyon, Marseille ou encore Londres sont possibles depuis l’aéroport de Poitiers.
Description
La propriété est accessible depuis deux entrées : la première donne un accès direct au parc et la seconde à la longère via une cour, où a été aménagé un préau pour accueillir deux voitures. Une maison de gardien est située à quelques mètres de l’entrée principale.
La longère, édifiée en appareillage de pierres apparentes, est couverte d'une toiture de tuiles plates. Ses deux façades sont rythmées par des baies dont certaines garnies de portes-fenêtres qui se répondent l'une à l'autre.
Dans le parc, une première maison d’amis, accessible en dépassant le portail du jardin et en passant devant la longère, voisine cette dernière à quelques mètres. Orientée comme elle, bâtie en pierre apparente et couverte de tuiles, elle regarde le moulin et une retenue d'eau formée par l'écoulement du bief.
Faisant face à ces deux premières habitations, ce dernier semble être le point de convergence de l'ensemble bâti. Son histoire est attestée depuis le 17e s., époque de la construction de ses digues. Emporté par les flammes en 1790, il a été reconstruit en 1800 et jouit encore à ce jour d’un droit d’eau. Sa hauteur de chute est de 1,8 m environ. Il est à noter que toutes les digues ont été maçonnées et surélevées pour protéger les bâtiments des éventuelles crues hivernales.
Enfin, une seconde maison d’amis a été bâtie sur la première île, reliée à la rive par un petit pont et accessible par un escalier de pierre, et un autre pont conduit à une seconde île, plus vaste encore.
La longère, édifiée en appareillage de pierres apparentes, est couverte d'une toiture de tuiles plates. Ses deux façades sont rythmées par des baies dont certaines garnies de portes-fenêtres qui se répondent l'une à l'autre.
Dans le parc, une première maison d’amis, accessible en dépassant le portail du jardin et en passant devant la longère, voisine cette dernière à quelques mètres. Orientée comme elle, bâtie en pierre apparente et couverte de tuiles, elle regarde le moulin et une retenue d'eau formée par l'écoulement du bief.
Faisant face à ces deux premières habitations, ce dernier semble être le point de convergence de l'ensemble bâti. Son histoire est attestée depuis le 17e s., époque de la construction de ses digues. Emporté par les flammes en 1790, il a été reconstruit en 1800 et jouit encore à ce jour d’un droit d’eau. Sa hauteur de chute est de 1,8 m environ. Il est à noter que toutes les digues ont été maçonnées et surélevées pour protéger les bâtiments des éventuelles crues hivernales.
Enfin, une seconde maison d’amis a été bâtie sur la première île, reliée à la rive par un petit pont et accessible par un escalier de pierre, et un autre pont conduit à une seconde île, plus vaste encore.
La longère
Le rez-de-chaussée
Depuis la cour, une porte d’entrée ouvre sur un couloir traversant. De là, un escalier de bois conduit à l'étage. Une salle à manger et un salon se tiennent de part et d'autre du corridor. Une cuisine aménagée, qui jouxte la salle à manger, profite de deux accès autonomes depuis l'extérieur, l'un dans la cour et l'autre sur une terrasse, dont la tonnelle végétalisée surplombe le parc et la rivière. Depuis cette pièce, deux portes mènent à une cave climatisée, d'une capacité de stockage d'environ 2 000 bouteilles, ainsi qu'à une buanderie-chaufferie. Le salon comporte quant à lui une remarquable cheminée au manteau de bois. En enfilade, accessible par une dernière porte, se trouve une salle de théâtre avec son estrade et sa mezzanine. Elle donne dans la cour d’entrée ainsi que dans un bûcher-préau qui conduit à un autre espace avec cheminée en pierre et en tuileau au linteau en bois et à des toilettes. Les plafonds de tout le rez-de-chaussée sont rythmés par des poutres apparentes et l’ensemble des sols est couvert de tomettes carrées.
L'étage
Le palier commande deux chambres et la mezzanine de la salle de théâtre. La première, depuis laquelle la vue se perd dans le parc et vers la rivière, jouxte une salle d’eau avec douche à l’italienne et des toilettes. La seconde, spacieuse, domine le parc, le moulin et la rivière, avec également une salle de bains, des toilettes et une garde-robe. Des planchers à lames larges couvrent l’ensemble des sols de l'étage, excepté ceux des salles de douche ou de bain, carrelées. Enfin, la charpente d'origine est partiellement apparente au niveau de divers plafonds et murs des pièces mansardées.
La première maison d'amis
La petite habitation annexe, d'un seul niveau, abrite une salle de séjour, au plafond cathédrale, avec une cheminée dans laquelle a été installé un insert, une cuisine et, en enfilade, une salle d’eau avec douche et toilettes, puis une chambre à coucher. Enfin, un l’escalier conduit à une mezzanine spacieuse pouvant servir d'espace de couchage.
La seconde maison d'amis
Formant une sorte de belvédère, elle est composée d’un seul plateau dans lequel se nichent une salle d’eau et des toilettes. Ses baies donnent à la fois sur les îles boisées, le moulin, la rivière et la longère.
Le moulin
Le rez-de-chaussée
Il y avait à l’origine deux roues dont une seule a été conservée. Chacun des deux mécanismes en bois était dévolu à la mouture de céréales spécifiques. Le sol est recouvert de dalles de pierre et des ouvertures permettent l'évacuation de l'eau lors d'éventuelles crues hivernales.
Le premier étage
Un escalier en bois mène au premier étage, où une cheminée d'angle en pierre réchauffe la salle de séjour, qui inclut un coin cuisine. Le sol est carrelé de terre cuite, les poutres et le plancher qu'elles soutiennent sont apparents. Des toilettes ont également été aménagées, sous l'escalier qui mène au dernier niveau.
Le deuxième étage
Il a été transformé et est actuellement utilisé en dortoir avec une salle d’eau aménagée. Un plancher à lames larges en pin revêt le sol de l'étage. Le plafond est recouvert d'un lambris du même bois et soutenu par la charpente du toit à quatre pans. Enfin, de petites fenêtres tout en largeur ainsi qu'une fenêtre de toit éclairent l'ensemble.
Les dépendances
Adossée à un mur non loin du moulin, une serre du 19e s. en fer et en verre, à toiture courbe et à soubassement de briques et de pierres, abrite les semis et les plantes du gel. Par ailleurs, un préau orienté plein sud et son four à pain servent aux repas printaniers ou estivaux. Enfin, une grange et son grenier permettent d'entreposer les barques à disposition pour des promenades ou autres jeux d'eau.
La maison de gardien
Son niveau unique est composé d'une salle de séjour et d'une cuisine qui ouvrent sur une petite terrasse. Une cheminée est adossée contre un mur et les sols sont couverts de tomettes. Des baies ouvrent à l'est et au sud. Enfin, deux chambres, une salle de bains et des toilettes indépendantes sont accessibles par trois petites marches.
Le parc
Un bassin proche de la longère guide le regard vers les éléments naturels remarquables du domaine. Une partie du parc s’étend en douceur vers le cours de la rivière dont bénéficie la propriété. Une autre est constituée de cinq îles – dont la plus grande mesure 3 500 m² environ – reliées les unes aux autres par des ponts. Le verger est planté de pommiers, pruniers, noyers et cerisiers.
Enfin, des carpes, barbillons, silures et brochets peuplent le cours d'eau. La réserve à poissons construite au 18e s. existe toujours.
Ce que nous en pensons
Un domaine établi au fil de l'eau, authentique et champêtre, où se rencontrent le bois, la pierre et l'eau de la rivière, dans un chapelet d'îlots verdoyants. Les robustes piles qui soutiennent les charpentes aériennes répondent à l'austère et élégante façade du moulin, à l'abri du couvert végétal et entouré d'un jardin soigneusement taillé. Les divers bâtiments d'habitation et dépendances se complètent parfaitement, sur les plans architectural et fonctionnel. Restauré, l’ensemble bâti est ainsi remarquable à bien des égards, idéal pour tout type de projet, résidence principale ou villégiature, à quelques encablures de la capitale.
845 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 259341
| Surface cadastrale | 1 ha 65 a 86 ca |
| Surface du bâtiment principal | 350 m2 |
| Nombre de chambres | 8 |
| Surface des dépendances | 480 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
