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Si le premier coup d’œil retient la symétrie des lignes et des perspectives, chère à l’esprit français, rien de sévère ni de solennel ne s’en dégage. Bien au contraire, une douceur toute campagnarde et l’esprit d’une maison de famille imprègnent le visiteur dès son arrivée. La nature domestiquée en un délicat jardin à la française se poursuit au loin en bois et cultures épousant les doux mouvements de cette terre périgourdine. Les longs communs enchâssent l’élégante demeure qui ouvre ses portes sur de vastes et hauts volumes conçus pour recevoir dans une ambiance chaleureuse des hôtes dont le bien-être semble naturellement au centre de toutes les attentions. Aux portes du Périgord et du Limousin, La Meynardie invite tout autant à se prélasser avec délice qu’à se laisser tenter par les irrésistibles excursions que ce territoire du Sud-Ouest offre en abondance.
La Meynardie est notre propriété depuis plusieurs générations. Elle a été achetée en 1941 par notre famille qui en fit alors, le théâtre de la mission Alsos pendant la dernière guerre. Cette mission américaine placée sous le commandement du colonel Boris Pash établit sa base à la Meynardie, devenant le centre opérationnel pour le sud de la Loire. Le colonel Pash en a fait un livre « The Alsos mission », où il parle longuement de la Meynardie comme d’un « impressionnant vieux château ».
Le château daté du 17e siècle a été bâti sous Henri IV. Précédé d’une cour d’entrée bordée par deux communs, il est prolongé par une immense esplanade en terrasse créant un magnifique parc à la française, dominé par une orangerie du 19e siècle, transformée en maison indépendante. « Son aspect seigneurial vient d’une rangée ininterrompue de mâchicoulis, de lucarnes de pierre à frontons, de grands combles d’ardoise et deux pavillons sur la toiture », selon la description du baron de Verneilh en 1873.
La Meynardie est un château de la fin du 16e siècle, début du 17e, de style Louis XIII, bâti sous Henri IV ou Louis XIII. Le domaine comportait aussi la forge de la Meynardie, sur la Valouze, qui au 19e siècle produisait plus de cinq cents quintaux de fer. Il a appartenu à la famille des Croizant, Arlot de Frugie, puis fut transmis par mariages successifs aux familles de Curmond de la Meynardie, de Ribeyreix seigneur de la Meynardie, puis au comte de Villoutreys, la plupart enterrés dans la chapelle du château. À la Révolution, ce dernier émigra et le château fut mis en vente aux enchères comme bien national, acheté par la famille de Maitres de Forge Texier, puis de la Salle, et enfin en 1883, en mauvais état, par Monsieur Sohier pour sa femme (nièce du maréchal Bazaine) qui y fit de très importants travaux intérieurs et extérieurs. Il créa notamment le parc à la française, et installa de magnifiques écuries pour sa chasse à courre, toujours visibles. Le château fut racheté par notre famille pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Un château vaste et confortable, à la décoration raffinée, entouré d’un immense parc à la française, avec piscine et tennis. Une grande maison de famille pour vingt-trois personnes en Dordogne. Un lieu rêvé pour les adultes et les enfants, pour partager des vacances, un week-end de détente entre amis, ou une fête familiale, tout en étant à la croisée de nombreuses étapes touristiques et gastronomiques réputées. Un lieu hors du temps au cœur du Périgord. Le calme serein de l’immersion en pleine nature. Des espaces immenses chargés d’histoire. Un luxe authentique et un charme raffiné. La « slow life » et le confort moderne.
À Brantôme, le restaurant « Au fil de l'eau », annexe bistrot du merveilleux « Moulin de l’Abbaye » en face, ou à Bourdeilles à « l’Atelier des Sens ». L'abbaye Notre-Dame de Boschaud et de celle de Chancelade... À voir aussi, celle du Chalard avec son incroyable cimetière de gisants. Pour les promenades, l'étang de la Barde juste à côté est magnifique, un air de Canada en automne ! Pour les produits locaux, il faut aller au Potager de Frugie, à Saint-Pierre-de-Frugie, dont les produits sont aussi vendus à l'épicerie bio du village, et pour le miel, à la Coquille à la miellerie de Bonhur, que l'on peut visiter. Pour la viande, c'est Coutancie bien sûr, l'équivalent du boeuf de Kobé. Et les marchés locaux, Thiviers le samedi, et à Périgueux, de magnifiques marchés dans toute la ville Renaissance. L'hiver, ne pas rater les marchés au gras et aux truffes, et visiter une truffière à Sorges.
7000 € - 9200 € la semaine
Le hall d'entrée du château dessert d'un côté un immense salon bibliothèque en boiseries, et de l'autre côté, une grande salle à manger, un petit salon, cuisine et arrière cuisine, toilettes et lavabo. Au premier étage, un grand palier Napoléon III dessert deux ailes, l'une avec deux chambres - une avec lavabo -, une salle de bains, des toilettes séparées, l'autre avec trois chambres - une avec lavabo - une salle de bains et des toilettes séparées. Au deuxième étage, se trouvent d'un côté deux chambres - une avec lavabo et trois lits -, une salle de bains et des toilettes séparées, et de l'autre côté, deux chambres, dont une une avec lavabo, et une avec trois lits, une salle de bains et des toilettes séparées. L'orangerie se compose de deux chambres, deux salles de bains, deux toilettes, un salon, une cuisine.
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